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Psychiatrie Infanto-juvénile - Centre ZELIG
Centre de détection et d’intervention précoce pour adolescents & jeunes adultes Image Le centreZELIG est un dispositif ambulatoire destiné aux jeunes âgés de 12 à 21 ans, domiciliés en Région de Bruxelles-Capitale, confrontés à des difficultés psychiques et fonctionnelles récentes, datant de moins de six mois.ZELIG a pour objectif de détecter les premiers signes de détresse psychique avant qu'ils ne s'aggravent. En permettant un accès précoce aux soins, il vise à prévenir les complications et la chronicisation des troubles.Notre dispositif s'engage à répondre rapidement aux premières demandes et à évaluer chaque situation de manière approfondie et systématique. Nous proposons un parcours de soins centré sur la prise en charge des symptômes liés à une affection psychiatrique, grâce à une détection précoce et à la prévention des rechutes.%20%20zelig [dot] pij [at] hubruxelles [dot] be (Envoyer un message) Image Le projet repose sur une évaluation, une restitution et un accompagnement ciblé. Ce dernier s’articule autour d’ateliers de groupe et de suivis individuels, tous deux à visée thérapeutique et psychoéducative.Le centre ZELIG veille à ce que chaque jeune bénéficie d’un accompagnement complet et personnalisé tout au long de son parcours.Les premières informations sont recueillies par téléphone ou e-mail. Après une analyse de la demande, un entretien peut être proposé pour approfondir l’évaluation. Suite à cet entretien préliminaire, des réflexions en équipe pluridisciplinaire sont organisées pour déterminer la meilleure prise en charge : accompagner le jeune ou le rediriger. Dans ce cadre, des échelles d’évaluation peuvent également être utilisées pour enrichir notre analyse.Cette approche repose sur trois axes : individuel, groupal et en lien avec l’entourage. Le suivi individuel permet d’adapter les soins aux besoins spécifiques du jeune, tandis que les séances de groupe encouragent les échanges entre pairs et brisent l’isolement. L’implication des personnes ressources et du réseau garantit une continuité des soins en dehors du centre. Enfin, des séances de psychoéducation peuvent également être proposées aux familles et aux proches. Docteur Simone Marchini Médecin responsable de ZELIGPédopsychiatreSpécialiste en détection et intervention précoce chez les adolescents et les jeunes adultesLe Dr Marchini réalise son doctorat de sciences auprès de la Faculté de Médecine de l’ULB. Son projet de recherche vise à développer une approche dimensionnelle aux troubles psychiatriques des adolescents et des jeunes adultes. Image Une équipe de spécialistes à vos côtés Dr Simone Marchini : pédopsychiatre, responsable médicalDr Edeline Clin : médecin pédopsychiatre en formation2 psychologues cliniciens :Lina Regragui, spécialisée en TCC (thérapie cognitive et comportementale)Samy Adhami, spécialisé en approche systémiqueNeuropsychologue : Ella Ben-Shaool2 infirmières spécialisées :Natalia Polozova DelaitreDéborah MorchoisneÉducateur spécialisé : Steven NicaiseStagiaire « Pair Aidant » : (patient partenaire, formé durant 2 ans avec la Plateforme Bruxelloise de Santé Mentale)Prendre Rendez-vous  La détection précoce des affections psychiatriques ne repose pas uniquement sur le centre ZELIG, mais également sur les acteurs du quotidien des jeunes : parents, proches, enseignants, coachs sportifs, médecins généralistes, etc. Ces figures clés sont souvent les premières à identifier des signes de détresse et à alerter ZELIG, permettant ainsi une prise en charge rapide et efficace.Par ailleurs, nous collaborons étroitement avec les professionnels de santé mentale déjà impliqués dans la situation de chaque jeune, afin d’assurer une continuité et une cohérence dans les soins apportés.Brochure ZELIGAffiche ZELIG Sites des partenaires de ZELIG :Plateforme Bruxelloise pour la Santé mentaleBru-Stars - Réseau Bruxellois en Santé Mentale pour les Enfants et AdolescentsSimiles - association pour les familles & amis Équipes liégeoises - EcoToneLe P.A.A.T.  (Pôle Ambulatoire - Age de Transition à Liège)Equipe de VRINT à LouvainEquipe mobile âge de transition à ANVERSUZ VUB à Jette  Le Questionnaire Prodromique (QP-16)Le QP-16 est un outil de dépistage conçu pour identifier les jeunes nécessitant une évaluation approfondie.Utilisation recommandéeCe questionnaire est destiné aux professionnels de première ligne (médecins généralistes, psychologues, etc.) qui, face à un jeune présentant des signes préoccupants, peuvent lui demander de remplir le QP-16.Interprétation des résultatsUn score de 6 items vrais ou plus constitue un argument solide pour envisager une orientation vers le dispositif ZELIG.Cet outil aide à détecter les signes prodromiques précoces et à initier une prise en charge adaptée.Ce dépistage vise à faciliter l’identification précoce des jeunes en détresse et à promouvoir une intervention rapide et ciblée.Questionnaire Prodromique FAQ Quels critères utilisez-vous pour référer un jeune dans votre dispositif ? ZELIG est un dispositif destiné aux jeunes âgés de 12 à 21 ans, domiciliés en région Bruxelles-Capitale, confrontés à des difficultés psychiques et fonctionnelles récentes, datant de moins de six mois. Zelig a pour objectif de détecter les premiers signes de troubles psychiatriques avant qu'ils ne s'aggravent.Ces signes peuvent inclure, par exemple, un décrochage récent du quotidien, des changements de comportement, une vision altérée de la vie (impression d’étrangeté), l’apparition d’une détresse psychologique, une rupture des liens avec les pairs, ou encore des perturbations dans les perceptions des cinq sens (comme entendre des chuchotements, voir des objets bouger, ou ressentir des sensations corporelles inhabituelles).Dans certains cas, ces manifestations peuvent être les prémices d’une affection psychiatrique émergente, nécessitant une intervention précoce et adaptée Qui peut nous adresser un jeune ? Les jeunes peuvent effectuer des demandes, tout comme leurs parents et/ou leur entourage. Tout professionnel peut également nous contacter, à condition que le jeune en soit informé et donne son accord. Comment puis-je faire une demande d'évaluation ? Vous pouvez nous envoyer un mail à ZELIG [dot] PIJ [at] hubruxelles [dot] be (ZELIG[dot]PIJ[at]hubruxelles[dot]be) Nous vous répondrons dans les plus brefs délais afin de recueillir les premières informations nécessaires, avant de fixer un rendez-vous si cela s’avère pertinent. Quelles étapes comprend le processus d'évaluation ? Afin de garantir une réponse rapide, nous proposons dans un premier temps un entretien avec deux membres de l’équipe. Par la suite, un rendez-vous médical est planifié avec un pédopsychiatre. En parallèle, d’autres rendez-vous peuvent être organisés pour la passation d’échelles standardisées. Enfin, des examens médicaux peuvent être prescrits pour exclure d’éventuelles pathologies somatiques.Au terme de ce processus, un entretien de restitution des résultats est organisé avec les membres de l’équipe impliqués, au cours duquel des pistes d’action sont proposée Quels outils d'évaluation utilisez-vous ? L’évaluation se veut complète. Des bilans somatiques peuvent être proposés, ainsi que des entretiens semi-structurés et des échelles, utilisés pour enrichir et affiner la prise en charge. Les services sont-ils gratuits ? Les tarifs sont conventionnés par l’INAMI. Il est nécessaire d’être en ordre de mutuelle.  Existe-t-il un même dispositif en région Flamande et en Wallonie ? Région Wallonne (Liège) :Équipes liégeoises - EcoToneLe P.A.A.T.  (Pôle Ambulatoire - Age de Transition à Liège)Région Flamande :Equipe de VRINT à LOUVAINEquipe mobile âge de transition à ANVERS Que faire si mon enfant ou mon ami.e s’isole et ne sort plus de chez lui/elle ? Vous pouvez vous adresser aux équipes mobiles. L’équipe mobile à solliciter dépendra de l’âge du jeune ainsi que de sa domiciliation. Pour exemple :  Bru-Stars - Réseau Bruxellois en Santé Mentale pour les Enfants et Adolescents Est-ce que votre centre propose un accompagnement des familles ? Oui nous proposons un accompagnement des familles. Le module « BREF » (entretiens centrés sur la psychoéducation des familles) est une intervention proposée aux aidants des jeunes pris en charge par le dispositif ZELIG.Pour d’autres aides vous pouvez vous référer à des associations d’aidants : Similes - association pour les familles & amis Plateforme Bruxelloise pour la Santé mentale L’évaluation… et après ? La restitution des bilans permet de proposer un éventail d’outils pouvant être utile aux jeunes et à leur famille/proches. L’accompagnement soutenu au moyen d’entretiens individuels (médical, psychologique et le case-management), de prévenir voire d’éviter une détérioration future.Les outils sont dans un premier temps la mise en place d’un réseau de soin si celui-ci est absent et si cela est pertinent pour la/le jeune.Des ateliers groupaux à visée psychoéducative et psychothérapeutique.L’accompagnement des familles/proches du jeune (psychoéducation).Et surtout la remobilisation de réseau du jeune afin d’aider à la mise en place d’un projet de vie centré sur l’épanouissement, l’affirmation, le maintien et la création des liens et enfin la réalisation du soi.  +32(0)2 555 80 04  ZELIG.PIJ@hubruxelles.be Erasme Medical Center (EMC) Route de Lennik 900 − 1070 Bruxelles Standard +32 (0)2 555 31 11 Image
Services
Psychologie
Notre rôle La santé physique et le bien-être mental sont indissociables  et, en tant que patient, vous êtes au centre de nos préoccupations. Notre Service dispose de nombreux psychologues, répartis dans tout l'hôpital.  Ceux-ci peuvent vous recevoir en consultations ou être contactés durant votre hospitalisation.  Les psychologues ont une mission clinique de soignants : accompagner le patient et sa famille et prévenir, diagnostiquer, traiter les affections d’origine et d’expression psychologiques. L'accompagnement psychologique peut vous aider à retrouver un mieux-être face à un problème de santé et aussi faciliter, en cas de besoin, vos contacts avec l’ensemble de l’équipe soignante. Image Nos spécialités Les champs d’expertise des psychologues de l’Hôpital Erasme se déclinent en fonction des services médicaux dans lesquels le psychologue est présent.  Chaque psychologue dédicacé à l’un ou l’autre service est donc spécialisé dans les besoins psychologiques spécifiques du patient qui le consulte (cardiologie, pneumologie, neurologie, oncologie…). Les psychologues de liaison quant à eux, « font le lien » pour faciliter la communication entre vous-même, en tant que patient, et l’équipe soignante.  Le service de psychologie propose, en outre, des questionnaires et inventaires psychologiques, tests cognitifs ou neuropsychologiques, tests de personnalité, tests intellectuels et tests psychologiques.Les soins psychologiques de première ligne y sont aussi offerts.  Il s’agit d’interventions de courte durée qui permettent de maintenir ou retrouver un bien-être psychique en cas de fragilité ou de difficulté passagère.  Notre équipe Image Nos spécialistes Recherche Le service de psychologique est également impliqué dans la recherche scientifique. Les recherches menées ciblent des thématiques diversifiées (sommeil, psycho-oncologie, soins intensifs, psychologie du travail,…). A titre d’exemple, en réaction à la crise COVID, le service de psychologie a été à l’initiative d’une recherche centrée sur l’impact de la crise sur la santé mentale du personnel soignant, conduisant à une collaboration scientifique avec plusieurs hôpitaux belges.Le service de psychologie a en outre une part active dans l’enseignement à l’Université Libre de Bruxelles et dans la formation pratique des futurs psychologues.  Publications Mental health outcomes differences in healthcare workers in COVID-19 and non-COVID-19 care units: a cross-sectional survey in Belgium Auteurs: Tiete J., Guatteri M., Lachaux A., Loas G., Hougardy J-M., Matossian A., Rotsaert M.Journal: Frontiers in Psychology  08 Novembre 2023 Self-report of empathy: a shortened french adaptation of the interpersonal reactivity index (iri) using two large belgian samples. Auteurs : Braun S, Rosseel Y, Kempenaers C, Loas G, Linkowski P. Journal : Psychol Rep. 2015 Dec; 117(3):735-53.  08 Novembre 2023 The assessment of autistic traits with the Autism Spectrum Quotient: Contribution of the French version to its construct validity. Auteurs: Kempenaers C., Braun S., Delvaux N., and Linkowski P. Journal: (2017). European Review of Applied Psychology, 67(6), 299-306. Doi : 10.1016/j.erap.2017.09.001  08 Novembre 2023 French Adaptation of the Narcissistic Personality Inventory in a Belgian French-Speaking Sample. Auteurs: Braun S, Kempenaers C, Linkowski P, Loas G. Journal: Front Psychol. 2016 Dec 23; 7  08 Novembre 2023
Psychologie
Article
Purple Day: L' Epilepsie, parlons-en !
A l'occasion du Purple Day nous sommes partis à la rencontre de l'équipe de Neurotechnique de l'hôpital ERASME, un acteur incontournable  de la lutte contre l'épilepsie L'équipe de Neurotechnique: Prête à intervenir partout! Au cœur de la lutte contre l'épilepsie, l'équipe de Neurotechnique se positionne comme un acteur indispensable, offrant une expertise spécialisée et des technologies avancées pour un diagnostic précis et une surveillance continue des patients. Ce qui distingue cette équipe, c'est sa mobilité, sa disponibilité et sa polyvalence au sein des autres services. À l’aide des électroencéphalogrammes portatifs, les infirmières de cette unité interviennent dès qu'un problème neurologique chez un patient hospitalisé doit être analysé, que ce soit en neurologie, aux soins intensifs, en néonatalogie, en gériatrie ou ailleurs. En ambulatoire, nos infirmières spécialisées interviennent en consultation de neurologie et de pédiatrie pour effectuer les électroencéphalogrammes (EEG) et les potentiels évoqués (PE) directement sur place.( Les potentiels évoqués sont une technique qui permet d’extraire des réponses neuronales associées à des événements sensoriels, cognitifs et moteurs.) Ce qui distingue cette équipe, c'est sa mobilité, sa disponibilité et sa polyvalence au sein des autres services Un diagnostic précis et une surveillance continue La Neurotechnique dispose d'une Unité d'exploration de l'épilepsie (UDE) de 5 chambres, permettant d'accueillir pour une hospitalisation d'au moins 24 heures des patients nécessitant un diagnostic approfondi sur la fréquence, l'intensité et l'origine de leurs symptômes, et parfois en prévision d'un traitement chirurgical de leur épilepsie. En outre, notre équipe de spécialistes intervient également lors des interventions chirurgicales des Carotides, assurant la mise en place des monitorings EEG. Dotée d'une réactivité exemplaire, d'une mobilité indispensable et d'une expertise pointue, l'équipe participe au diagnostic précis et assure la surveillance continue des patients épileptiques, ce qui se traduit par une amélioration significative de leur prise en charge. Bravo à eux! Affiche de présentation de la Neurotechnique Brochure Unité D'exploration de l'Epilepsie (UDE) Contact: nathalie [dot] buffe [at] hubruxelles [dot] be
Problématique de santé
Purpura Thrombotique Thrombocytopénique (PTT)
Qu'est-ce que le Purpura Thrombotique Thrombocytopénique ? Le PTT ou Purpura Thrombotique Thrombocytopénique est une maladie rare qui fait partie d’un groupe de maladies appelées micro-angiopathies thrombotiques. Ce sont des maladies où les plaquettes (qui participent à la coagulation) adhèrent entre elles de manière anormale entraînant la formation de caillots dans le sang. Ce phénomène cause trois problèmes :Une diminution du taux de plaquettes disponibles = Thrombopénie.Les globules rouges se heurtent à ces caillots et se cassent entraînant leur diminution = Anémie.Les caillots peuvent boucher les vaisseaux sanguins et diminuer l’oxygénation des tissus, ce qui peut être très lourd de conséquences pour le cœur, le cerveau, le rein, etc.Différentes causes peuvent être responsables de la survenue de ces microangiopathies thrombotiques. Le PTT est causé par le déficit d’une protéine dénommée "Adamts 13". Son absence peut être due soit, le plus fréquemment, à la présence d’anticorps (= PTT immunologique), soit à une anomalie génétique (= PTT congénital).  Prise en charge La prise en charge du PTT est une urgence vitale. Sans traitement, le taux de mortalité est de 90%. Il est primordial de diagnostiquer rapidement la maladie et d’avoir une prise en charge optimale dans un centre expert.La prise en charge initiale du PTT immunologique comporte deux plans d’action :Prise en charge aiguë : Remonter le taux de protéines Adamts 13 avec des échanges plasmatiques : le plasma (la partie liquide du sang qui contient les cellules) est remplacé par du plasma sain permettant de remonter le taux d’Adamts 13 et d’enlever les anticorps.  Depuis 2019, un médicament innovateur spécifique au PTT permet d’entraver l’adhérence des plaquettes entre elles permettant une résolution des trois problèmes cités plus haut. Ceci a permis une nette amélioration de la prise en charge des patients dans la phase aiguë. Notre centre dispose en permanence de ce médicament sur place pour une administration rapide. Prise en charge de fond :  Arrêter la production d’anticorps contre l’Adamts 13. On utilise en première intention des corticoïdes et un anticorps monoclonal visant les cellules productrices d’anticorps. La prise en charge du PTT congénital se base sur l’administration de plasma. L’administration d’Adamts 13 de synthèse n’est pas encore remboursée, mais est accessible.Toute personne atteinte de PTT doit impérativement être suivie à vie par un hématologue spécialisé dans ce type de pathologie. Nos spécialistes Conseils Le PTT peut se manifester par des symptômes divers et variables étant donné qu’il peut toucher de nombreux organes. La manifestation clinique à l’avant plan est la survenue de saignements anormaux, hématomes importants ou pétéchies (multiples petites tâches rouges/violacées sur la peau).Les symptômes plus sévères pourront être des signes d’infarctus cardiaque ou d’accident vasculaire cérébral.Une prise de sang montrant une anémie et une thrombopénie peuvent rapidement faire suspecter le diagnostic.Liens utiles :  Microangiopathies thrombotiques - MaRIH - Filière de santé Maladies Rares Immuno-HématologiquesLe centre CNR-MATTTP Community - Home (site néerlandophone) Prendre rendez-vous aves l'un de nos spéciaslites Focus / Recherche Notre équipe d’hématologie a acquis une grande expérience dans la prise en charge de cette pathologie et fait l'objet de sollicitations régulières pour la prise en charge de patients de centres extérieurs.Nous collaborons régulièrement avec des centres experts de différents pays européens (France, Royaume-Uni, Italie).Nous participons aux réunions de concertation multidisciplinaires des centres experts français.  Découvrir notre Service d'Hématologie
Purpura Thrombotique Thrombocytopénique (PTT)
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Qualification de recherche clinique
Différents types de recherches cliniques peuvent être menés dans le cadre des professions médicales et paramédicales. Préambule Ne doivent pas être soumis au Comité d'Ethique : Les projets de recherche animale recherche animale ou de recherche in vitro n'utilisant pas du matériel corporel humain Les revues de littérature Les enquêtes auprès de professionnels de la santé sur leur pratique exclusivement, si ces enquêtes sont sans référence aucune à des patients.  Etudes n'entrant pas dans le cadre de la loi de mai 2004 Expérimentations sur l'embryon in vitro tombant (Loi relative à la recherche sur les embryons in vitro). Etudes rétrospectives dans lesquelles on examine le passé en utilisant les données déjà disponibles, en partant des dossiers et/ou banques de données (électroniques ou non) existants, les personnes concernées n'étant pas directement impliquées (Loi relative à la protection de la vie privée). Etudes sur matériel corporel humain (MCH) résiduel, prélevé dans le cadre diagnostic (échantillon sanguin, matériel de biopsie, etc.) dont on a conservé le surplus (Loi relative à l'obtention et à l'utilisation de MCH). Les rapports de cas cliniques ("case report"). Etudes entrant dans le cadre de la loi du 7 mai 2004 La loi belge relative à l'expérimentation humaine de mai 2004 (LEPH) concerne les études, expérimentations ou essais sur l'homme dans lesquels les participants sont sélectionnés afin d'être observés systématiquement et prospectivement (études prospectives). Essais cliniques entrant dans le cadre de la loi du 7 mai 2017 À partir du 31 janvier 2023, tous les essais cliniques de médicaments dans l'UE/EEE devront être soumises via le CTIS, conformément au Règlement sur les essais cliniques (Règlement européen essais cliniques 536/2014). ATTENTION: Certaines investigations avec médicament ne sont pas considérées comme des essais pour autant que le médicament utilisé corresponde à la définition de NIMP (Non Investigational Medicinal Product) : voir Definition of Investigational Medicinal Products (IMP)/Non Investigational Medicinal Products (NIMP) and Notice to applicants with algorithm to help answer the question: Is it a clinical trial of an IMP?  Investigations cliniques de dispositifs médicaux entrant dans le cadre de la loi du 22 décembre 2020 Depuis le 26 mai 2021, les investigations cliniques qui concernent des dispositifs médicaux doivent suivre le règlement européen spécifique qui les concerne.
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Qualité
Trauma Center Depuis septembre 2022, l’Hôpital Erasme détient l’accréditation “Trauma Center”. Une certification qui met en avant la prise en charge des patients traumatisés sévères de niveau 1. Chaque jour, le Trauma Center mobilise une équipe multidisciplinaire médicale et paramédicale afin que la prise en charge du patient soit transversale et optimale. Une chaine de survie qui survient dès l’appel du 112 à la stabilisation du patient jusqu’à sa réhabilitation.   Que les patients soient des accidentés de la route, du travail ou domestique, le traumatisme sévère est reconnu pour être la 1ère cause de mortalité chez les moins de 40 ans. Afin de garantir une prise en charge efficace, l’Hôpital Erasme dispose d’infrastructures et de ressources matérielles et médicales permettant un trajet de soins complet.   Charte qualité L’Hôpital Erasme s’inscrit dans une dynamique d’amélioration continue par une culture de la qualité qui touche à l’ensemble de ses activités et implique tous ses collaborateurs. L’ensemble de ces missions que sont les soins au patient, l’enseignement et la recherche, se décline dans une démarche d’évaluation permanente et dans des conditions de rigueur, de transparence et de sécurité optimales.  L’Hôpital s’engage à :  Mettre le patient au centre de ses préoccupations afin de lui fournir les soins et les services souhaités en les intégrant dans sa prise en charge avant et après son hospitalisation   Contribuer à développer de nouvelles approches de soins et fournir les soins les plus pointus dans ses domaines d’excellence   Soutenir les activités de soins par des pratiques uniformisées et écrites   Encourager le respect des valeurs et des objectifs portés par l’institution   Favoriser le bien-être de chacun des collaborateurs de notre institution par la mise à disposition d’un cadre propice à l’épanouissement personnel   Offrir un outil d’enseignement d’excellence à la communauté, aux Facultés et Ecoles prodiguant les différentes formations professionnelles liées aux soins et à la santé  Proposer ces formations dans un cadre humaniste propre à favoriser le compagnonnage des plus jeunes par les plus expérimentés  Mettre à disposition des Facultés et Ecoles un outil performant permettant la réalisation ou la participation à toutes les dimensions de la recherche centrée sur les activités médicales et de soins.   Label "Hôpital Ami des Bébés" En 2008, le service de maternité s’est fièrement vu décerné le label “Hôpital Ami des Bébés” avec un renouvellement en novembre 2016.  Programme international lancé par l’OMS et l’UNICEF, ce label a pour objectif d’assurer à chaque nouveau-né et à sa mère un capital santé et bien-être optimal. Par conséquent, il encourage les maternités à favoriser un lien précoce entre le bébé et sa mère et à promouvoir l’allaitement maternel. En plus de constituer une alimentation optimale pour le bébé, de le protéger des infections et des allergies et de prévenir l’obésité, l’allaitement est également bénéfique pour la maman. Une diminution des risques du cancer du sein et d’ostéoporose et une perte de poids plus facile après l’accouchement en sont les deux raisons principales.   Pour répondre aux conditions de renouvellement de ce label, l’Hôpital s’engage à :  Mettre tout en œuvre pour favoriser l’établissement d’un lien solide entre la maman et le nouveau-né pendant la grossesse, durant l'accouchement, et après la naissance.   Informer et aider à prendre une décision éclairée quant au mode d'alimentation qui convient le mieux à la maman et au bébé. Une fois cette décision prise, le service de maternité s’engage à la respecter et à accompagner la maman dans son choix.  Notre personnel bénéficie d’une formation spécifique pour offrir un accompagnement de qualité aux mamans qui souhaitent allaiter leur enfant.  Favoriser les premiers contacts à travers un peau à peau d’au moins une heure et ce, dès la naissance. Pour rassurer bébé, nous encourageons la maman à lui proposer le sein.  Eviter toute séparation avec le bébé durant tout le séjour à la maternité. Si l’enfant doit séjourner dans le service néonatal, les infirmières aident la maman à tirer son lait, dans la mesure du possible à proximité du bébé.  
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Qualité et Sécurité
Notre culture Qualité et Sécurité des soins L’Hôpital Erasme est engagé dans une démarche active d’amélioration de la qualité-sécurité des soins. Le management de la qualité et de la gestion des risques poursuit un objectif fort de sécurité des soins et d’excellence, avec une attention particulière apportée à l’implication du patient à divers niveaux. Nous promouvons un management de la qualité où la Direction, les professionnels et les patients travaillent ensemble pour construire un système de soins plus sûr, où les prestataires sont fiers de fournir des soins de la plus haute qualité et où les patients sont certains de recevoir des soins les plus sécuritaires possibles. Notre qualité est pilotée, reconnue et connue grâce à des indicateurs qui permettent à tous d’optimiser les activités de soins tout au long du parcours patient. La gestion des risques Anticiper les risquesAssurer la sécurité des patients et du personnel et réduire le risque d’erreurs et les incidents en :Evaluant et hiérarchisant les risques identifiés par service, spécialité ou processusDéfinissant un plan d’action face à ces risques.La déclaration d’un incident de prise en charge par le patient/familleNous mettons tout en œuvre pour prodiguer des soins de la plus haute qualité à toutes et tous. Mais nous sommes conscients que des incidents peuvent subvenir lors de votre passage, celui de votre enfant ou d’un proche au sein de notre hôpital. Il est important de nous en informer via ce formulaire pour nous aider à nous améliorer et faire en sorte que cela ne se reproduise pas.Attention, ce formulaire n’équivaut pas à une plainte ni à une demande de médiation. Pour plus de renseignements à ce propos, veuillez contacter le service de médiation et Droits du Patient. Evénements indésirablesAnalyse des événements indésirables afin d’éviter leur récidive et augmenter la sécurité des soins.Cette politique nécessite une approche proactive et une collaboration entre tous les membres de l’équipe hospitalière pour créer un environnement sûr et fiable. L'amélioration continue Les indicateurs de suivi L’Hôpital Erasme s’auto-évalue régulièrement grâce à l’utilisation d’indicateurs. Un indicateur de qualité et de sécurité des soins est un outil qui permet de mesurer un état de santé, une pratique ou la survenue d’un événement. Cet outil d’évaluation nous aide dans l’orientation de nos plans d’actions d’amélioration et de nos priorités. Le suivi d’indicateur est un outil managérial menant à la prise de décisions et au suivi des améliorations. Améliorer la qualité des soins par l’analyse des résultats des indicateurs, des enquêtes expériences patients et des déclarations d’événements indésirables. L'accréditation La direction de l’Hôpital Erasme est engagé dans un processus d’accréditation avec Accréditation Canada (ACI). Il s’agit d’un cycle continu qui a pour but d’élever la qualité des soins. L’accréditation est une méthode d’évaluation de conformité de l’ensemble des processus de l’hôpital par rapport à des standards déterminés internationalement reconnus dans le but d’enclencher et/ou de soutenir et consolider les démarches d’amélioration continue de la qualité. Le Partenariat Patient  L’Hôpital Erasme accorde une grande importance au développement du Partenariat Patient.Cliquez ici pour plus d'informations. Contact Service Qualité, Sécurité et Partenariat Patient securite [dot] qualite [at] hubruxelles [dot] be  
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Qualités rédactionnelles
Pour être compris par ± 90 % des adultes, (candidats participant & proches), on recommande l'utilisation d'un langage courant de niveau équivalent aux études secondaires de base soit 14 - 16 ans (literacy proficiency level of 2-3). Préambule Le document d'information et consentement (DIC) doit être rédigé de façon à pouvoir être lu et compris par des personnes qui n'ont pas bénéficié de l'information orale et que le participant potentiel pourrait souhaiter consulter. Des phrase courtes, s'adressant directement à la personne cible (participant potentiel ou représentant légal du participant) seront privilégiées.  Des formulations telles que "Nous vous demanderons... , vous serez sollicité pour..." ou "Nous demanderons à votre enfant de... , votre enfant devra exécuter telle ou telle tâche... " seront donc préférées à des formulations telles que "Il vous sera demandé ...",  "Il sera demandé à votre enfant ...". L'objectif premier du DIC devrait être de fournir au participant éventuel ou son représentant l'information dont il/elle a besoin pour prendre une décision de participation raisonnée et ne devrait pas être un moyen pour le promoteur/l'investigateur de se protéger des éventuelles poursuites (moyen d'ouvrir le parapluie légal!). Pour les études académiques, les modèles fournis par le Comité d'Ethique sont recommandés (modèles téléchargeableq via nos page web "canevas de DIC pour essais cliniques" et "canevas de DIC pour études cliniques"). Format Il devrait être conçu en 3 parties: l'information essentielle à la compréhension du projet de recherche; objectifs de l'étude, méthodologie en bref, avantages et risques essentiels, droits (en bref) et devoirs du participant (6 pages maximum d'un texte aéré et utilisation de police ≥ à arial 10). le formulaire de consentement. des informations annexes qui n'entrent pas directement dans le processus de décision mais comprennent: des informations utiles comme l'agenda, le nombre, le rythme et le contenu de chacune des consultations prévues. des informations complémentaires à celle présentées dans la première partie comme le détail des risques liés aux différentes molécules/procédures d'examen indispensables à la recherche. des informations plus détaillées concernant les droits des patients répondant aux recommandations et/ou obligations légales (assurance, garanties de confidentialité, etc.). Cette subdivision parait essentielle pour des DICs au grand nombre de pages (>6) qui rebutent le plus souvent les participants éventuels et ne sont dès lors pas lus. Sur le plan administratif, nous souhaitons que la pagination de l'entièreté du document soit du type "page 1/8" (bas de page!). que chaque section du document: porte en tête de page, le titre complet du projet de recherche. soit séparée de la précédente par un saut de page. porte le même numéro de version et la même date d'édition (bas de page!). Version 1 pour la 1ère soumission, version 2 pour les corrections demandées par le CE après examen, version 3 dans le cadre d'un éventuel amendement, etc. Date d'édition respectant la chronologie des soumissions du DIC. Le CE doit pouvoir mentionner, dans son courrier d'approbation, une identification précise (Nr de version et date d'édition) du DIC qui sera présenté ensuite aux participants. Rédaction Le DIC doit être rédigé idéalement dans la langue maternelle du participant. Cette recommandation est impérative si le projet de recherche comprend des risques qualifiés d'important. Le DIC doit être rédigé dans un langage clair et compréhensible par le participant: Construction de phrases correctes (attention aux problèmes de traduction littérale de l'anglais vers le français/néerlandais, de choix inapproprié des termes, etc.). Absence de jargon médical. Absence de fautes d'orthographe. Informations structurées, fil conducteur clair. Dans le cadre des essais cliniques, la description des risques associés à la prise du/des médicament(s) doit permettre au participant de reconnaître les effets indésirables les plus probables s'ils surviennent, peu importe la molécule responsable, de savoir que le médicament de l'étude pourrait avoir des effets secondaires non identifiés jusqu'à présent pour lui-même ou dans le cadre d'un projet parental et qu'il est donc important de signaler rapidement tout problème de santé nouveau au médecin investigateur. La description exhaustive des effets indésirables de chacune des molécules peut être présentée en annexe et sera structurée soit par système, soit par fréquence de survenue. A éviter: toute information non interprétable pour le patient telle que "Un patient est décédé dans une étude précédente avec cette molécule... mais l'investigateur pense que la molécule n'est pas responsable de cet événement". Cette phrase n'est pas compréhensible et interprétable par le participant potentiel à la fois parce qu'un décès sans savoir combien de patients ont pris la molécule ne permet pas d'évaluer l'importance du risque et parce que ce risque n'est pas lié à la molécule avec une probabilité raisonnable. Les informations ne peuvent pas utiliser de formulations par lesquelles le volontaire serait amené à renoncer ou sembler renoncer à ses droits légaux, ou à dégager ou sembler dégager le chercheur, le promoteur, l'institution ou leurs représentants d'une responsabilité pour négligence (rubrique dommage et assurance!). Les informations ne peuvent pas être coercitives, ni faire des promesses fallacieuses. Certaines adaptations sont à prévoir pour les patients incapables de prendre une décision de participation à une projet de recherche de façon autonome.
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A quoi penser avant une IRM (imagerie par résonance magnétique)
L'Imagerie médicale par Résonance Magnétique est une technique d'imagerie non invasive très efficace qui fournit des images en coupes des tissus mous du corps.Déroulement d’un examen d’IRML'IRM fait usage d'un appareil qui génère un champ magnétique permanent intense et qui consiste en un cylindre à l'intérieur duquel vous serez couché sur une table d'examen. Un microphone ainsi qu'une caméra permettront de communiquer et vous serez muni d'une sonnette pour nous appeler en cas de besoin.Pendant l'acquisition des images, des ondes électromagnétiques dans la bande des radiofréquences (non-ionisantes, mais qui transmettent un peu de chaleur) seront utilisées ainsi qu'un champ magnétique variable responsable d'un bruit sonore important (des protections auditives vous seront fournies). Les images proviennent des signaux de résonance magnétique induits dans une antenne, qui est un dispositif placé autour ou sur une partie de votre corps. Dans les conditions habituelles d'un examen réalisé en absence de contre-indication, en général aucune conséquence néfaste pour la santé n'est à craindre. Certains examens nécessitent une injection intraveineuse d'un agent de contraste ou d'une spécialité pharmaceutique ou impliquent une préparation particulière comme être à jeun plusieurs heures avant l'examen, ou subir un lavement intestinal.Durant l'examen, qui dure entre 20 et 30 minutes vous devrez rester immobile mais le personnel se trouvera à proximité. Pour les examens chez les enfants non prémédiqués et les personnes très claustrophobes, nous acceptons la présence dans la salle d’examen d’une personne accompagnante ne présentant pas de contre-indication.Sécurité du patient À votre arrivée le personnel vous posera plusieurs questions dont le but est de vérifier l’absence de contre-indications à l'examen d'IRM et vous informera sur le déroulement de l'examen. Il vous invitera à revêtir des vêtements fournis par l'Hôpital, pour des raisons de sécurité et de qualité vous ne garderez aucun objet métallique comme soutien-gorge, bouton, agrafe, barrette de cheveux ou fermeture éclair métallique ou maquillage/crème dermatologique.La présence de tout dispositif implanté (pacemaker, défibrillateur, neurostimulateur, implant cochléaire,…) ou objet métallique (éclat, broches, clips, valves, prothèses,…) à l’intérieur ou sur le corps constitue un facteur de risque majeur en IRM. Pour cette raison, il est primordial de l’indiquer sur la demande d’examen et de transmettre l’information au moment de la prise de rendez-vous, afin que la compatibilité de l’implant avec l’IRM puisse être vérifiée.Cependant, la compatibilité IRM d'un implant ne signifie pas forcément que l'examen puisse se dérouler de manière standard. La présence de tout dispositif médical implanté «compatible IRM sous conditions» nécessite une prise en charge particulière qui implique des vérifications et/ou réglages de l'implant chez le clinicien avant et/ou après l'examen IRM, ainsi que le choix de l'imageur avec dans certains cas des réglages à faire sur la machine IRM elle-même (et qui peuvent nécessiter du temps pour la mise en place).Il est donc indispensable de fournir TOUTES les informations nécessaires concernant l'implant (copie de la carte d'identification avec le type d'implant, fabricant, modèle, date d’implantation etc.) à la prise de rendez-vous, faute de quoi l'examen pourrait être annulé au dernier moment par mesure de sécurité si toutes les procédures et vérifications n'ont pu être réalisées à temps pour le bon déroulement de l'IRM.L’allergie aux produits de contraste et l’insuffisance rénale sévère ne constituent pas une contre-indication à l’IRM mais doivent impérativement être signalées.N’hésitez pas à fournir tout renseignement qui vous paraîtrait important et à nous poser des questions sur l’examen.Liste de questions auxquelles vous devrez répondre1. Portez-vous un stimulateur (pacemaker) ou un défibrillateur cardiaque, un   neurostimulateur ou un implant dans l'oreille ? 2. Votre implant éventuel a-t-il été modifié depuis la prise de rendez-vous ?        3. Avez-vous subi une opération chirurgicale ?                                                                                                                          4. Avez-vous un quelconque objet métallique dans le corps (y compris éclats métalliques, balles, éclats d'obus...) ?           5. Portez-vous un appareillage ou une prothèse, un patch ou un tatouage, du maquillage ?                                                   6. Etes-vous enceinte ou susceptible de l’être ; allaitez-vous ?                                                                                                 7. Etes-vous insuffisant rénal sévère ?                                                                                                                                      8. Etes-vous allergique aux agents de contraste ?                                                                                                                    9. Etes-vous claustrophobe, sujet à des crises d’épilepsie ou des absences ?                                                                          Important : à apporter le jour de l’examenla demande de votre médecin (ordonnance, lettre,…)vos documents d’identitéla carte d'identification de votre implant et la télécommande éventuelle.   Des précautions à prendre