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Nos volontaires à la télé!
Découvrez le reportage "#investigation" réalisé par la RTBF Ce reportage met en lumière un véritable défi : le bien-être des seniors et les systèmes de soins de santé doivent s’accorder En début de reportage, retrouvez les volontaires de l'Hôpital Erasme qui oeuvrent chaque jour pour le bien-être des patients. Nous souhaitons encore une fois les remercier pour leur dévouement, leur bonne humeur et leur présence au quotidien ! Un petit mot particulier pour Jacqueline : la doyenne de nos bénévoles qui fêtera ses 90 ans cette année ! Article et reportage
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Notifications des effets ou événements indésirables
Parmi les missions du Comité d'Ethique dans le cadre de la recherche clinique, il y a l'évaluation continue des projets de recherche et donc, notamment, 1) l'examen des notifications d'effets/événements indésirables graves survenus localement (site Erasme) ou en Belgique quand le Comité d'Ethique a été désigné par le promoteur de l'étude pour émettre l'avis unique et 2) l'évaluation des rapports de sécurité. Définitions Pour les définitions des notions de "gravité", de "caractère inattendu", "d'effet/d'événement indésirable", voir les GCP ("good clinical practices"), chapitre 1, Glossaire. Obligations légales en terme de déclaration au Comité d'Ethique La notification des événements/effets indésirables doit suivre la réglementation suivante : https://www.ema.europa.eu/en/human-regulatory/research-development/clinical-trials/reporting-safety-information-clinical-trials.   Autres notifications liées à la sécurité des participants La législation européenne recommande que l'autorité compétente et le comité d'éthique soient notifiés des rapports suivants : Listes semestrielles des effets indésirables graves observés durant l'étude, Rapport de sécurité annuel (DSUR ou Development Safety Update Report), Tout événement nouveau lié à la conduite de l'étude ou au développement du produit étudié qui pourrait affecter l'évaluation de la balance risques /bénéfices: Un événement indésirable sévère qui pourrait être associé à une procédure et pourrait modifier la conduite de l'étude comme un "SAE" survenant durant la période de "run in"; Une analyse provisoire ou un rapport du comité de surveillance de la sécurité (Data Safety Monitoring Board) indiquant une fréquence ou ampleur de dommages ou de bénéfices (manque d'efficacité) différents de ceux présentés initialement au Comité d'Ethique. Un article publié à partir d'une autre étude montrant que le risque ou bénéfice potentiel de la recherche peut être différent de celui présenté initialement au Comité d'Ethique (exemple : découverte majeure en termes de sécurité provenant d'une étude animale comme la démonstration d'un effet carcinogène); La suspension  ou l'interruption d'une étude impliquant le même produit (le même sponsor) en raison des risques observés. Toute notification de mesures d'urgence prises par le promoteur et donc changement au protocole, sans la revue préliminaire du Comité d'Ethique, afin d'éliminer un danger évident immédiat au participant à la recherche.  Cette notification doit annoncer la soumission d'un amendement en bonne et due forme.. SUSAR post-étude survenant chez un participant qui a terminé sa participation à l'étude et rapportée par un investigateur au sponsor. Le Comité d'Ethique attend des investigateurs que tout rapport en lien avec la sécurité des participants rédigé par le promoteur de l'étude/essai et transféré au Comité d'Ethique, soit accompagné de leur évaluation actuelle de la balance risques/bénéfices pour leurs participants. Le Comité d'Ethique attend des investigateurs qu'ils rapportent également au Comité d'Ethique, tout problème imprévu qui implique un risque pour les sujets ou autrui. Hormis les évènements décrits ci-dessus, quelques exemples d'évènements  qui pourraient  être des problèmes imprévus impliquant un risque pour le sujet ou pour autrui, sont : Une violation de la confidentialité. Un changement dans l'étiquettage de la FDA/EMEA ou un retrait de la commercialisation du médicament, de l'appareil ou d'un produit biologique utilisés dans un protocole de recherche. Plainte d'un sujet qui indique des risques inattendus ou qui ne peuvent être résolus par l'équipe de recherche. Une déviation/violation du protocole (un changement accidentel ou intentionnel au protocole approuvé par le Comité d'Ethique) qui nuit aux sujets ou à autrui ou qui indique que les sujets ou autre courent un risque de nuisance accru. L'incarcération d'un sujet participant à un protocole dont l'approbation ne prévoit pas le recrutement de prisonniers.
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Notre collègue canin fête ses 2 ans !
La zoothérapie s’intègre progressivement en milieu hospitalier et est davantage appréciée. Cette pratique utilise les interactions avec des animaux pour améliorer la santé et le bien-être des patients tant sur le plan physique que psychologique. A l’Hôpital Erasme, Yuki met du baume au cœur à nos patients et à nos membres du personnel. Notre recrue poilue a pris ses fonctions il y a 2 ans, le 25 décembre 2022, au sein du service des soins intensifs. Une belle histoire en cette période de fêtes de fin d’année ! La zoothérapie : de nombreux bienfaitsAu sein de l’H.U.B, les pratiques aux approches non-pharmacologiques dans le management du stress, de la douleur et plus largement de la qualité de vie des patients hospitalisés aux soins intensifs est primordiale. Présent tous les dimanches, notre collègue à 4 pattes passe un moment privilégié avec chaque patient qui le souhaite en respectant ses besoins. La présence d’un animal apaise et soulage leur anxiété. Elle favorise également la santé physique et émotionnelle des patients en réduisant le sentiment d’isolement. Les patients peuvent simplement passer un peu de temps avec lui, le caresser et faire quelques animations qui nécessitent des mouvements basiques mais importants. A ce stade, Yuki a déjà aidé 110 de nos patients. Evidemment, il suit un protocole sanitaire très strict avant chaque venue à l’hôpital et entre chaque patient.Tika, la voisine à l’Hôpital des EnfantsSoutenue par l’H.U.B, Claire, infirmière à l’Hôpital Erasme et initiatrice du projet de Yuki a renforcé l’initiative à l’Hôpital des Enfants avec l’arrivée de Tika, une jeune Tekel de 8 mois. Tika suit actuellement une formation auprès d’une éducatrice canine connaissant le milieu hospitalier et le sujet de la médiation animale et commence doucement à se rendre au chevet de nos jeunes patients. Tout comme Yuki, elle fait ses débuts au sein du service des soins intensifs. Sa venue dans le milieu hospitalier pédiatrique offre les mêmes impacts positifs : la réduction du stress et de l’anxiété, l’amélioration de l’humeur, le support émotionnel, la stimulation de l’interaction sociale ou encore l’aide à la revalidation auprès de nos jeunes patients. 
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Nouvelle mesure dans la prise en charge du cancer du sein
Une mesure appliquée dès le 1er août Dès ce 1er août, certaines étapes des traitements contre le cancer du sein seront remboursées exclusivement si ces soins ont été effectués dans des cliniques du sein agréées dont font partie l'Hôpital Erasme et l'Institut Jules Bordet. Une décision prise à la suite d’une étude menée par le Centre Fédéral d'Expertise des Soins de Santé (KCE) qui révèle que les femmes prises en charge dans une clinique non agréée ont 30% de risques supplémentaires de décéder de ce cancer par rapport aux patientes qui ont été traitées dans une clinique agréée. Retrouvez plus d'informations dans le reportage réalisé par la RTBF
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Un numéro unique pour joindre l'H.U.B
Faites le +32 (0)2 555 55 55 pour tous les services de l'Hôpital Erasme, de l'Institut Jules Bordet et de l'Hôpital des Enfants Dès aujourd'hui, un seul numéro est nécessaire pour joindre tous les services de l’Institut Jules Bordet, de l’Hôpital Erasme et de l’Hôpital des Enfants : le +32 (0)2 555 55 55. Composez-le simplement et vous pourrez ensuite vous laisser guider confortablement par notre système qui vous amènera le plus vite possible vers l’interlocuteur que vous recherchez.
Problématique de santé
Nutrition
Le groupe nutrition rassemble des personnes qui travaillent dans le domaine de la nutrition, et ce dans différents services de l'hôpital. Les domaines d'intérêt de l'équipe nutrition concernent principalement les suppléments nutritionnels oraux, la nutrition entérale par sonde et la nutrition parentérale EquipeCoordinateurPr Jean-Charles PreiserMembresPr Marianna ArvanitakisDr Sandra De BreuckerDr Johanne GarbusinskiDr Nicolas RoperMme Myriam AutphenneMme Asuncion BallarinM Daniele ColluraM Mathieu De RyckereMme Sylvie FarineMme Nathalie GuerryMme Viviane LievinMme Justine ThomasPrendre rendez-vousEquipeEmail: Nutrition [dot] erasme [at] hubruxelles [dot] be (Nutrition[dot]erasme[at]hubruxelles[dot]be)Support DomicileEmail: Support-Domicile [dot] Nutrition [dot] erasme [at] hubruxelles [dot] be (Support-Domicile[dot]Nutrition[dot]erasme[at]hubruxelles[dot]be)Ce Service multidisciplinaire est constitué de médecin appartenant à divers services de l'Hôpital Erasme, de pharmaciens, diététiciens, infirmiers, travaillant au sein de différentes unités de soins. Infirmière coordinatrice nutritionBallarin AsuncionTél: 02 555 5578Email: asuncion [dot] ballarin [at] hubruxelles [dot] be (asuncion[dot]ballarin[at]hubruxelles[dot]be)Nutrition entérale (sonde)Tél: 02 555 3908Nutrition parentérale (perfusion)Tél: 02 555 4481
Nutrition
Problématique de santé
Obésité (Clinique de)
Qu'est-ce que l'obésité? Le surpoids ou l’obésité sont définis comme une accumulation anormale ou excessive de graisse, qui nuit à la santé. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) considère qu'une personne est en surpoids lorsque son indice de masse corporelle (IMC) est supérieur à 25 et qu'elle est obèse lorsque celui-ci est égal ou supérieur à 30. En Belgique, 49,3% de la population adulte est en surpoids et 16% de notre population est obèse. Le surpoids et l’obésité augmentent avec l’âge puisque cela concerne respectivement plus d’un tiers et un cinquième de la population à partir de 35 ans. Il s’agit d’un problème de santé publique, associé au développement de nombreuses maladies telles que l’hypertension artérielle, le diabète, etc.  Prise en charge Le Centre Intégré de l'Obésité (CIO) de l'Hôpital Erasme vous propose trois modules de prise en charge du surpoids et de l'obésité : coaching intensif, interventions médicales (y compris ballon intra-gastrique ou plicature gastrique) et interventions chirurgicales. Chaque module est personnalisé à chaque patient. Le CIO place chacun de ses patients au cœur d’une équipe pluridisciplinaire d’experts, où vous serez acteur de votre prise en charge. À chaque étape, vous serez entourés par une équipe composée de diététiciens, psychologues, endocrinologues, médecins nutritionnistes, gastroentérologues, chirurgiens et kinésithérapeutes.  Le Centre Intégré de l’Obésité est associé au Centre Pédiatrique Pluridisciplinaire de l’Obésité situé sur le Campus de l’HUDERF pour la prise en charge des enfants et des adolescents. Ceux-ci sont pris en charge, au travers d’une convention, de manière pluridisciplinaire, structurée et adaptée à leur besoin spécifique.  Image Recherche La prise en charge de l’Obésité, tant chez les adultes que chez les enfants, est en constante évolution.  De nombreux travaux de recherche y sont associé, de travail de fin d’étude en diététique (y compris chez les enfants), kinésithérapie, psychologie et médecine, en passant par des études médicamenteuses ou des études académiques. Les Centre intégré de l’Obésité et entre Pédiatrique Pluridisciplinaire de l’Obésité, se veulent à la pointe de la rechercher et de l’enseignement.  Nos spécialistes
Obésité (Clinique de)
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Obtention et utilisation de Matériel Corporel Humain (MCH)
Loi relative à l'obtention et à l'utilisation de matériel corporel humain destiné à des applications médicales humaines ou à des fins de recherche scientifique Loi relative à l'obtention et à l'utilisation de matériel corporel humain au moniteur belge.  Compendium biobanques.
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Octobre Rose
L'intelligence artificielle au profit du dépistage du cancer du sein Comme chaque année, le mois d’Octobre signe un mois de sensibilisation au cancer du sein. Le cancer du sein touche plus de 10.000 femmes par an en Belgique, ce qui en fait la première cause de mortalité par cancer chez la femme. Néanmoins, la probabilité de survie est élevée si la maladie est détectée à un stade précoce. L’utilisation de l’intelligence artificielle dans le dépistage de ce cancer offre une aide non négligeable pour les radiologues de nos hôpitaux. L’Hôpital Universitaire de Bruxelles (H.U.B) composé de l’Institut Jules Bordet, de l’Hôpital Erasme et de l’Hôpital Universitaire des Enfants Reine Fabiola soutient plus que jamais la lutte contre le cancer du sein en innovant grâce à de nouvelles techniques intelligentes Un dépistage précoce plus efficace grâce à l’intelligence artificielle Individuel via l’autopalpation des seins, auprès de son gynécologue ou encore dans le cadre des campagnes de Mammotest, l’importance du dépistage du cancer du sein n’est plus à démontrer. Depuis un an, l’Hôpital Universitaire de Bruxelles (H.U.B) utilise un nouvel outil pour compléter leur arsenal : l’intelligence artificielle (IA). Véritable aide au radiologue pour la lecture des images, l’IA permet de donner un pourcentage de risque de malignité d’une image lésionnelle. L’intelligence artificielle a été développée grâce au deep learning : des images de cas positifs et négatifs ont été intégrées dans le logiciel pour qu’il s’entraine à identifier le cancer et à le différentier d’une lésion bénigne. A chaque nouveau cas, l’IA analyse les images de la patiente à celles stockées et est donc capable de donner un pourcentage de risque de positivité. Une aide complémentaire à l’œil du radiologue L’IA est également très performante sur la mammographie 3D (tomosynthèse). Cela permet un meilleur diagnostic des seins denses qui mettaient parfois en difficultés les radiologues car très complexes à analyser. « L’Intelligence artificielle pourrait aussi être intéressante pour le dépistage de masse car il permet, sur base de la mammographie et de l’âge, de calculer le risque à 2 ans de développer un cancer du sein. Cela va permettre d’identifier les patientes qui ont besoin d’une surveillance plus rapprochée car plus à risque de développer un cancer. » souligne le Dr Sy, Directrice de Clinique d’Imagerie de la Femme au sein de l’H.U.B Un article récent publié cet été dans la prestigieuse revue The Lancet estime à 20% le nombre supplémentaire de cas de cancers du sein détectés par l’intelligence artificielle par rapport à une double lecture classique par 2 radiologues expérimentés. Cependant si l’IA détecte beaucoup de cancers, elle positive aussi des lésions bénignes. Comme l’explique le Dr Sy : « L’intelligence artificielle ne remplace pas le travail des radiologues mais est un outil qui va permettre de les soulager en les confortant dans leur diagnostic et parfois en attirant leur attention sur la présence d’autres lésions associées qui auraient pu leur échapper. C’est aussi un gain de temps car il diminue le temps de lecture des mammographies tout en nous permettant une meilleure détection et donc une prise en charge plus rapide des patientes qui en ont besoin » Quels espoirs pour le futur ? Si l’utilisation de l’intelligence artificielle pour la lecture des images de la mammographie et de la tomosynthèse est de plus en plus utilisée, les espoirs pour le futur sont nombreux. Des études sont en cours pour étendre son utilisation à la lecture d’images provenant des IRM. Dans cette utilisation, l’IA sera surtout utile pour les femmes à haut risque de cancer du sein dont le cancer se présente souvent de façon peu typique et est plus agressif. Elle permettra une prise en charge plus rapide. A moyen et long terme, nous espérons que cela pourra également aider à mieux définir les patientes pour qui une chimiothérapie est nécessaire. L’intelligence artificielle vient renforcer les nombreux outils, traitements et formes de prise en charge déjà en place, à l’H.U.B, afin de détecter le cancer du sein de manière précoce et d’augmenter les chances de guérisons de chaque patient.