Article
La maternité de l'Hôpital Erasme fait peau neuve !
L'Hôpital Erasme (Hôpital Universitaire de Bruxelles - H.U.B) a inauguré hier sa nouvelle maternité. Toute l’équipe s’est mobilisée pour repenser les soins et l’environnement de séjour des futures mamans, des nouveau-nés, mais aussi des co-parents, dans le souci constant d’offrir une prise en charge et un accompagnement d’excellence. Des chambres individuelles, propices au calme pour les premiers jours avec bébé L’Hôpital Erasme propose désormais 24 chambres, toutes individuelles, pour favoriser l’intimité et le calme dont les mamans et leur bébé ont besoin. Plus de la moitié des chambres a fait l’objet d’une rénovation soignée, conçue pour permettre l’accueil d’une personne accompagnante invitée à participer aux soins du nouveau-né et de sa maman tout au long de leur séjour à la maternité.Toutes les chambres sont désormais situées au même étage et à proximité de l’hospitalisation prénatale pour les grossesses à haut risque (Maternal Intensive Care) et des salles d’accouchement, ce qui facilite le suivi par le personnel soignant. En complément de cette capacité d’accueil et dans le plein respect de la politique de “zéro séparation”, l’Hôpital Erasme va enrichir l’offre de chambres “maman-bébé” au centre néonatal, afin de permettre aux jeunes parents de rester, autant que possible, auprès de leur bébé qui nécessiterait une prise en charge néonatale spécifique.Ce projet de rénovation s’inscrit dans la volonté de l’Hôpital Universitaire de Bruxelles d’associer une infrastructure d’accueil hautement qualitative à une expertise médicale de premier plan. Il a été mené en collaboration avec les équipes du service de Gynécologie-Obstétrique qui se sont impliquées dans le choix des matériaux et des couleurs, mais aussi et surtout dans la réorganisation des soins qui découle du regroupement des 24 chambres sur un seul étage.La nouvelle maternité accueillera les mamans et leur(-s) bébé(-s) à partir du lundi 18 novembre 2024.Découvrez la nouvelle maternité d'Erasme via le reportage vidéo de BX1 Les nouvelles chambres de la maternité de l'Hôpital Erasme
Article
En matière de prévention des escarres, chaque mobilisation compte !
Dans le cadre des actions de sensibilisation menées par le Groupe de Dépistage et de Prévention des Escarres (GDPE), Agathe Ducrocq, Infirmière clinicienne - Stomathérapeute et clinicienne en soins de plaies, revient sur l’importance de prévenir l’apparition des escarres et rappelle que toute mobilisation, même la plus « petite », est bénéfique aux patients. Quelles sont les pratiques de base à connaître pour prévenir l’apparition d’une escarre ? La première chose à faire, et qui est en fait une obligation légale, c’est un dépistage. Ce dépistage nécessaire et obligatoire pour cibler et prévenir de façon adaptée les patients à risque. À l’Hôpital Erasme, nous utilisons l'échelle de Braden. Ce score doit impérativement être réalisé dans les premières 48 heures de l’hospitalisation du patient, puis une fois par semaine, mais également à chaque changement d’état du patient Il comprend 6 items : La mobilitéLa nutritionL'activitéLa sensibilitéLes forces externes exercées par les frictions et cisaillementsL'humidité. En fonction du score, un protocole est appliqué afin d’adapter nos actes et notre prise en charge aux besoins du patient (dénutrition, incontinence, déshydratation, points de pression douloureux). Une approche multidisciplinaire est préconisée pour optimiser la prise en charge du patient. Pour ce faire, tous les acteurs de terrain sont impliqués, diététicienne, kinésithérapeutes. Nous utilisons également du matériel de prévention (matelas alternating, coussin…). Pourquoi est-il si important de prévenir l’apparition des escarres ? La prévention est un gage de qualité. L’objectif est d’éviter l’apparition d’escarre. Or, une rougeur, c’est déjà une escarre Lorsqu’elle passe inaperçue, une escarre devient une plaie qui peut se dégrader sévèrement, et rapidement d’où l’importance d’un bon dépistage et d’une bonne prise en charge Nous contrôlons régulièrement les appareillages et les points d’appui comme les talons, les fesses, les omoplates, le crâne, les hanches, entre les genoux et les chevilles, mais aussi derrière les oreilles (en raison d’une lunette à oxygène trop serrée), dans le nez (en raison d’une sonde naso-gastrique trop orientée), sur les parties génitales à cause d’une sonde vésicale ou d’une sonde rectale. Tout est important, précise Agathe Ducrocq.Une fois que l’escarre est au stade de plaie ouverte, cela devient beaucoup plus compliqué à gérer. Il faut éviter la cascade sans ça, la plaie s’élargit, s’approfondit et peut s’infecter. La dégradation devient telle que l’on doit faire appel à un chirurgien plasticien pour la suite des soins. Une escarre est un frein à la guérison. Elle constitue un risque et peut augmenter peut la durée d’hospitalisation et le temps de revalidation. Une fois que le patient va mieux et qu’il rentre chez lui, il fait l’objet d’un suivi à domicile pendant par fois plus de 6 mois ! Au-delà des contraintes que cela représente au niveau logistique (jusqu’à 3 soins par jour à domicile), il ne faut pas oublier que le patient souffre terriblement.Une meilleure prévention des escarres, et donc une meilleure anticipation de la part du personnel soignant, permet d’éviter qu’elles n’apparaissent ou ne se dégradent.L’anticipation, c’est la clé ! Bien entendu, entre la théorie et la pratique, il y a la réalité de terrain : le manque de temps, de personnel et de ressources constitue un frein au suivi strict du protocole. C’est pour cela que nous insistons sur le fait que tout le monde est impliqué, pas uniquement les infimier.e.s ou les aides-soignantes, et que toute mobilisation, même la plus petite, nous aide à faire un pas dans la bonne direction. Quand on manque de temps ou de bras, un petit coussin peut parfois faire toute la différence dans le confort du patient. Il n’y a pas de petite mobilisation !, rappelle Agathe DucrocqLe patient joue aussi un rôle dans la prévention de l’apparition d’une escarre : s’il est à risque il faut l’en informer, le stimuler à bouger autant que possible, lui montrer comment utiliser la manette de son lit pour bouger le dossier par exemple. Nous sommes tous acteurs !  Les ressources proposées par le Groupe de Prévention des Escarres (GDPE) Le GDPE a été créé en 2023. Il s’agit d’un groupe multidisciplinaire, créé grâce à la cellule qualité, qui rassemble des infirmières, des ergothérapeutes, des kinésithérapeutes, des médecins, l’équipe supports aux soins et des diététicien.ne.s. Nous développons toute une série de supports (affiches, dépliants, newsletter) que les professionnels de la santé peuvent utiliser pour informer leurs patients sur ce qu'il faut faire et quand. Nous organisons également des séminaires et des formations pour aborder les points très précis qui concernent au quotidien des personnes qui font appel à nous pour améliorer la prévention des escarres chez leurs patients. Notre but est de toucher le plus de monde possible afin de faire de la prévention et du dépistage des escarres un réflexe et ce, que l’on soit médecin, infirmier.e, aide-soignant.e ou logisticien.ne !  Dépliant sur la prévention des escarres pour patients et aidants Prévention des escarres chez les patients à risque - Mémo Prévention des escarres - Protocole de soins Le Groupe de Prévention des Escarres de l'H.U.B a développé un mémo reprenant le protocole de soins détaillé pour prévenir les escarres chez les patients à risque ou éviter leur aggravation. Pour recevoir ce protocole de soins, merci de nous contacter par email. Je souhaite recevoir le mémo sur le protocole de soins pour les escarres
Services
Médecine interne
Qu'est-ce que la médecine interne? La médecine interne s’intéresse au diagnostic et à la prise en charge globale du patient. Une part importante de l’activité du service concerne la prise en charge des maladies inflammatoires chroniques systémiques et auto-immunes, des maladies infectieuses et tropicales, de l’immunodéficience, du SIDA et de l’hypertension artérielle.La médecine interne générale est une spécialité axée sur le diagnostic et sur le traitement des maladies, qu'il s'agisse de maladies fréquentes ou rares, que la présentation soit habituelle ou exceptionnelle.Notre démarche est initiée par un symptôme, une plainte parfois banale qui peut être le témoin d'une maladie interne dont le diagnostic peut être complexe et retardé en raison de sa rareté ou de sa présentation inhabituelle.Fatigue prolongée, température inexpliquée, biologie inflammatoire, anémie dont l'origine est peu claire, infections récidivantes, maladies autoimmunitaires constituent des exemples de motifs conduisant le patient à consulter un interniste. Domaines d'expertise du Service de Médecine interne Indépendamment de leurs qualités d'internistes généraux, les médecins seniors du service ont acquis une expertise particulière qui confère au Service de Médecine interne une reconnaissance  nationale voire internationale dans des domaines particuliers tels que la prise en charge de troubles du métabolisme de l'eau et des ions, de certaines anomalies du sang devant faire rechercher des allergies ou des maladies hématologiques (hyperéosinophilie), des maladies inflammatoires des vaisseaux (vasculites) ou encore le diagnostic et le traitement de cas d'hypertension artérielle difficile.Dans le cadre des affections inflammatoires systémiques d'origine immunitaire, le service de médecine interne a initié la structuration d'un pôle interdisciplinaire réunissant des spécialistes de chaque discipline concernée par les atteintes organiques diverses qui caractérisent ces maladies plus rares (MISIM : Maladies Inflammatoires Systémiques Immuno-Médiées). Notre équipe Image Nos spécialistes
Médecine Interne - Erasme
Problématique de santé
Médecine et Laboratoire du Sommeil
Symptômes et pathologies Vous souffrez d’insomnie, d’un mauvais sommeil, vous ronflez fort ou pensez faire des apnées ? La mauvaise qualité de vos nuits vous rend irritable et vous ressentez de la fatigue, de la somnolence ou une difficulté à fonctionner normalement en journée ? L’impact du sommeil sur la qualité de vie n’est plus à démontrer. L’enregistrement polysomnographique permet d’exclure ou d’identifier l’une ou plusieurs pathologies altérant la qualité du sommeil. Apnée du sommeil Certaines pathologies du sommeil ne peuvent être détectées que via une polysomnographie. C’est le cas des apnées du sommeil dont l’impact sur la santé est largement sous-évalué. Fatigue, irritabilité, manque de concentration au volant… tout cela est causé par un défaut d’oxygénation quotidien du cerveau. Et tout l’organisme en souffre. En savoir plus Prise en charge D’autres pathologies sont plus rares, mais très invalidantes, telles que les hypersomnies centrales (la narcolepsie, l’hypersomnie idiopathique ou le syndrome de Kleine-Levin). Des tests de siestes en journée (test de latences multiple d’endormissement) sont alors proposés afin d’établir précisément le diagnostic. Le centre du sommeil prend en charge, grâce à une équipe pluri-disciplinaire, les pathologies du sommeil psychiatriques, respiratoires et neurologiques : les insomnies, les troubles du rythme, les apnées du sommeil, la somnolence diurne excessive, les hypersomnies, les parasomnies (agitation anormale dans le sommeil), le syndrome des jambes sans repos, et les troubles associées aux maladies neurologies (maladie de parkinson, sclérose en plaques, démences), etc. Examen du sommeil L’enregistrement de votre sommeil va permettre d’observer l’activité de votre cerveau en cours de nuit. Il est effectué à l'aide d'électrodes reliées par des câbles souples à un boîtier situé sur votre torse. Le(s) enregistrement(s) sont réalisés dans la mesure du possible selon vos horaires habituels tout en tenant compte de l’organisation de l’équipe. Un(e) infirmier(ère) surveille en permanence les ordinateurs qui enregistrent votre sommeil. Vous pouvez entrer en contact avec lui (elle) par l'intermédiaire de l'interphone en cas de besoin. Un urinal ou une panne sont à votre disposition si vous ne pouvez ou ne souhaitez pas vous lever pour vous rendre aux toilettes.
Médecine et Laboratoire du Sommeil
Services
Médecine nucléaire
Le service de Médecine nucléaire La médecine nucléaire utilise des isotopes radioactifs, soit pour produire des images du fonctionnement des organes, soit pour traiter des lésions, généralement cancéreuses.La médecine nucléaire traditionnelle, bien connue par la scintigraphie, produit aujourd’hui des images tridimensionnelles précises grâce au SPECT. Elle est principalement utilisée pour le diagnostic d’affections ostéo-articulaires, cardiaques, pulmonaires ou endocriniennes. La méthode d’imagerie la plus récente en médecine nucléaire est la Tomographie d'émission de positons (TEP), plus communément appelée le PET scan. Elle permet de fournir des informations très détaillées, principalement dans des affections cancéreuses et inflammatoires.L'Hôpital Erasme a développé une compétence particulière dans l’utilisation de la TEP pour les affections neurologiques telles que les tumeurs cérébrales, l’épilepsie et les démences.A l'Hôpital Erasme, cette technique est utilisée pour la prise en charge de nombreux patients et pour des projets de recherche.  Le Cyclotron Le cyclotron est un accélérateur à particules circulaire. Le cyclotron de l'Hôpital Erasme est utilisé pour la production de radioisotopes émetteurs de positons. Cette machine accélère de manière circulaire (cyclotron) des particules ionisées (H-) atteignant de fortes énergies (5 à 30 MeV) nécessaires aux réactions nucléaires. Il permet de produire, par ces réactions nucléaires, les isotopes émetteurs de positons de courte ½ vie (2 à 109 min) nécessaires à la synthèse des traceurs injectés.Informations techniquesLe cyclotron de l'Hôpital Erasme est un "cyclone 30", de 30 MeV (protons), (500µA max.).C'est le premier produit du genre de la Société IBA (Société wallonne implantée à Louvain-la-Neuve).Un cyclotron permet d'accélèrer des particules ionisées afin d'atteindre des énergies cinétiques élevées nécessaires pour réaliser une réaction nucléaire par bombardement d'une cible adéquate. La vitesse à atteindre est variable suivant la réaction désirée. Elle correspond à une énergie de 5 à 30 millions d'électrons volt (MeV, 1 eV = l'énergie d'un e- accéléré par une différence de potentiel de 1 volt).On peut diviser notre cyclotron en trois parties :Production des H- dans une source externe et injection au centre des cavités d'accélération;Accélération des H-, dans une cavité sous-vides, par l'utilisation d'un champs électrique de haute fréquence. Un champ magnétique créé par un électro-aimant guide la trajectoire du faisceau d'H- (force une trajectoire circulaire). La particule accélérée en spirale, augmente sa vitesse en effectuant plusieurs centaines de tours atteignant petit à petit l'énergie nécessaire à la réaction nucléaire;Extraction des particules H- accélérées, par un "stripper", sorte de fourchette possédant une feuille de carbone au travers de laquelle l'ion H- perd 2 électrons (e-), et devient donc un H+. En changeant de charge, il inverse son sens de rotation dans le champs magnétique. La trajectoire globale est calculée pour que la particule atteigne la cible disposée à la périphérie du cyclotron. PET-Scan : L'unité de tomographie par émission de positons (TEP) Cette technique d'imagerie médicale allie deux techniques d'imagerie : le scanner à rayons X (CT scan) et le PET scan.Pour effectuer un examen TEP, on injecte une faible quantité d’un produit radioactif au patient. Ce traceur radioactif a une très courte demi-vie, il émet un rayonnement qui permet de détecter sa présence, en quantité infimes, dans les différentes régions de l'organisme.La fixation du traceur dans les tissus dépend de l’activité cellulaire ; la TEP est une méthode extrêmement sensible pour détecter la présence de tissu cancéreux dans l’ensemble du corps, ou pour révéler des anomalies de fonctionnement d’un organe aussi complexe que le cerveau. La caméra TEP est constituée de capteurs très sensibles au rayonnement radioactif, elle est couplée à une caméra qui produit une image anatomique, il s’agit soit d’un scanner à rayons X, soit d’une résonance magnétique (IRM).Plusieurs traceurs différents peuvent être utilisés en TEP, le choix du traceur dépend de la fonction cellulaire que l’on veut analyser et de l’organe à étudier. Les radiotraceurs utilisés en TEP sont produits dans un cyclotron.  Notre équipe Image Nos spécialistes
Médecine Nucléaire He - Erasme
Services
Médecine physique et Réadaptation
Notre rôle La Médecine physique et Réadaptation est une spécialité récente destinée à permettre à tous les patients de renouer avec une vie aussi active que possible en tenant compte de limitations liées à une maladie, une blessure ou un accident. Elle repose sur une approche multidisciplinaire qui fait interagir de nombreux intervenants notamment kinésithérapeutes et ergothérapeutes. Image Nos spécialités La spécialité, nécessairement multidisciplinaire, implique une collaboration étroite avec les équipes de kinésithérapie et d’ergothérapie. Elle interagit aussi avec de nombreux autres professionnels :PsychologuesAssistants sociauxLogopèdesProthésistesetc.Mais aussi avec des structures telles que le Service de Neurologie ou le Centre multidisciplinaire d'Evaluation et de Traitement de la Douleur. Le Service comprend le Service de Kinésithérapie et d'Ergothérapie, le Centre de Réadaptation fonctionnelle neurologique ambulatoire (adultes) et le Centre de Réadaptation de l’Appareil locomoteur. Notre équipe Image Nos spécialistes Focus Ce service prend en charge le diagnostic et la rééducation-réadaptation de pathologies du système locomoteur (pathologies non chirurgicales et non inflammatoires). Il est également amené à assurer la rééducation-revalidation de pathologies du système nerveux central ou périphérique. Rééducation fonctionnelle et réadaptation occupent une place cruciale dans l'approche thérapeutique de chacune de ces pathologies.
Médecine Physique - Erasme
Rich page
Médiation et Droits du Patient
Le médiateur des Droits du patient peut être contacté par le patient et/ou son représentant légal, pour toute question remarque ou plainte quant à l’exercice de ses droits.Si vous estimez que l'un de vos droits, en tant que patient, n'a pas été respecté, que ce soit lors d’un séjour hospitalier ou bien en ambulatoire, il vous est conseillé, dans un premier temps, de vous adresser directement au professionnel des soins de santé mis en  cause, afin  de résoudre le désaccord.En cas d’échec ce cette tentative,  vous et/ou, votre  représentant légal, pouvez faire appel gratuitement au service de médiation, dont le rôle est de promouvoir la communication entre vous et le professionnel des soins de santé.Le médiateur agit selon les prescrits légaux, en toute indépendance, impartialité et neutralité. Le médiateur n’est ni un arbitre qui départage, ni un juge qui désigne un responsable.Il est tenu de par la Loi au secret professionnel. Il est garant de la confidentialité des échanges, et, il ne peut informer d’autres personnes de la plainte reçue par le patient ou son représentant.En cas d’insatisfaction du processus de médiation, le médiateur est tenu légalement d’indiquer au patient les autres possibilités de recours qui sont à sa disposition en matière de règlement de sa plainte.Consultez la brochure ‘Droits et devoirs du patient’ ainsi que le Règlement d'Ordre Intérieur de la fonction de médiation. Vous pouvez contacter le service de médiation Par email : mediation-ombudsdienst [dot] erasme [at] hubruxelles [dot] be (mediation-ombudsdienst[dot]erasme[at]hubruxelles[dot]be)Par téléphone : 02 555 44 91Via le formulaire ci-dessous :Merci de compléter ce formulaire le plus précisément possible, de manière à traiter la demande de médiation de manière efficace, et dans les plus brefs délais.En soumettant ce formulaire, vous acceptez que les informations saisies soient utilisées par l’Hôpital Universitaire de Bruxelles (HUB) pour traiter votre demande, en conformité avec la politique de confidentialité du site. Les informations reprises ci-dessous sont automatiquement transmises vers le service Médiation hospitalière de notre institution. Formulaire de contact : Médiation des droits du patient Site concerné par les faits Hôpital Erasme HUDERF – Hôpital Universitaire des Enfants Reine Fabiola Institut Jules Bordet CTR – Centre de Traumatologie et de Réadaptation CRG – Centre de Revalidation Gériatrique Polyclinique du Lothier Vos coordonnées Nom Prénom Date de naissance Numéro de téléphone E-mail Numéro de dossier patient Êtes-vous le patient concerné par les faits ? Oui Non Indiquez le nom et prénom du patient Date de naissance du patient Le patient est-il en mesure de donner son accord à la demande de médiation initiée ? Oui Non, la demande concerne un patient décédé Non, pour une autre raison (veuillez préciser) Le patient ou son représentant sera contacté afin d’obtenir son consentement. Veuillez préciser Date et service concerné Sujet de la plainte Motif(s) de la plainte : Les Droits du Patient 1. Bénéficier d’une prestation de soins de qualité a. Compétences des actes techniques b. Relation avec le professionnel des soins de santé c. Organisation dans le trajet de soins du patient 2. Choisir librement le praticien professionnel 3. Être informé a. sur son état de santé b. sur les répercussions financières liées à l’intervention du professionnel des soins de santé 4. Consentir librement à la prestation de soins, avec information préalable 4.bis. Être informé sur l’assurance en responsabilité professionnelle du praticien et sur son autorisation à exercer sa profession 5. Disposer d’un dossier tenu à jour, pouvoir le consulter et en obtenir copie 6. Etre assuré de la protection de sa vie privée 7. Recevoir de la part de professionnels la santé les soins les plus appropriés visant à prévenir, écouter, prendre en compte, traiter et soulager la douleur 8. Autres Motif(s) de la plainte : Plaintes sans lien avec Les Droits du Patient Logistique confort, repas, accès, parking, propreté et hygiène, orientation Facturation estimation de frais, facture, recouvrement, plan de paiement, pénalité Administrative admission, sortie, prise de rendez-vous, visite Plainte linguistique Attitude du personnel entretien, technique, service social, accueil, service de sécurité, Perte ou vol d’objet personnel Chute, accident Autre Si "Autre", précisez :