Problématique de santé
Allergies respiratoires (et asthme allergique)
Qu'est-ce qu'une allergie respiratoire? Nez bouché ou qui coule, yeux qui chatouillent, éternuements, toux nocturne, difficultés respiratoires… Chroniques, persistants ou saisonniers, ces symptômes peuvent être le signe d’une allergie respiratoire (ex. : le rhume des foins) et/ou d’un asthme d’origine allergique. Certes, tous les asthmes et toutes les rhinites ne sont pas dues à une allergie. Mais si c’est le cas, il faut le savoir, car le choix des traitements, leur efficacité et même certains remboursements en dépendent !  Prise en charge La Clinique de l’asthme et des maladies allergiques de l’H.U.B propose des mises au point diagnostiques et des prises en charge thérapeutiques aux personnes atteintes de ces pathologies ou présentant des symptômes respiratoires ou cutanés de type allergique. Diagnostic et suivi  Première consultation : la personne est reçue par un ou une pneumologue pour faire le point sur les symptômes, leur fréquence, les moments et les circonstances dans lesquelles ils se manifestent, etc. Le médecin procède aussi à une spirométrie, un test simple qui vise à évaluer la fonction respiratoire. Afin d’identifier le(s) allergène(s) responsables des symptômes, un prick-test est réalisé. Ce test cutané consiste à déposer une goutte d’allergène sur le bras et de l’enfoncer sous l’épiderme à l’aide d’une fine aiguille. La personne est également invitée, le jour même, à aller faire une prise de sang au Centre de prélèvements. Il n’est pas nécessaire d’être à jeun. Dans tous les cas, le médecin prescrit déjà des traitements pour soulager les symptômes. Si un asthme est soupçonné et si le test respiratoire montre une obstruction bronchique, un test de bronchodilatation à l’aide de Ventolin est immédiatement réalisé. Si la fonction respiratoire est normale, la personne est invitée à revenir faire un test de provocation bronchique à l’histamine. Ce test, réalisé sous surveillance médicale, permet d’exclure ou de diagnostiquer l’asthme avec quasi-certitude.       Deuxième consultation : 6 à 8 semaines plus tard, le ou la patiente est revue en consultation. Objectifs : évaluer la réponse au(x) traitement(s) symptomatique(s), discuter des résultats de la prise de sang et des autres traitements envisageables.   Consultations de suivi : une fois l’asthme ou l’allergie respiratoire sous contrôle, un suivi est proposé à une fréquence qui dépend de la sévérité de l’affection. Bon à savoir : en fonction des cas et des besoins, la Clinique de l’asthme et des maladies allergiques de l’H.U.B propose des consultations conjointes. Les patients et patientes peuvent ainsi rencontrer en même temps pneumologue et ORL ou, en cas d’allergie cutanée, pneumologue et dermatologue.  Les personnes asthmatiques peuvent aussi bénéficier de programmes d’éducation thérapeutique à l’École de l’Asthme.    Traitements La prise en charge thérapeutique d’une allergie respiratoire dépend du ou des allergènes en cause, ainsi que des symptômes. Les traitements symptomatiques regroupent les antihistaminiques par voie orale, les sprays nasaux à base de corticoïdes, les gouttes pour les yeux (collyres), etc.  L’immunothérapie consiste à modifier la réponse immunitaire de la personne pour la faire évoluer d’un statut allergique à un statut de tolérance à l’allergène. L’immunothérapie se présente le plus souvent sous la forme de comprimés à laisser fondre sous la langue ou de gouttes. Ce traitement est efficace, mais il est relativement coûteux et long. Il est remboursé uniquement en cas d’asthme causé par une allergie aux acariens et associé à une rhinite allergique aux acariens.  Les traitements de l’asthme (bronchodilatateurs, anti-IgE, anti-interleukines, traitements biologiques, etc.) sont variés et dépendent du type d’asthme. La maladie variant au cours du temps, il est nécessaire d’adapter le traitement en fonction de cette évolution.      Conseils Le traitement par éviction/d’évitement est toujours préconisé en cas d’allergie. Il s’agit, dans la mesure du possible, d’éviter de s’exposer aux allergènes ou d’appliquer certaines mesures pour réduire au maximum son exposition auxdits allergènes. Exemples : laver les draps à 90°C ; aérer les pièces en hiver quand il fait froid ; en cas d’allergie aux acariens, fermer les fenêtres de son domicile durant les pics polliniques (allergies aux graminées et autres pollens), etc.    Image Recherche Le principal axe de recherche translationnelle sur lequel la Clinique de l’asthme et des maladies allergiques de l’H.U.B concerne l’inflammation des voies aériennes inférieures (bronches). Les médecins-chercheur.ses travaillent notamment sur l’usage du NO exhalé pour bien orienter les immunothérapies et les thérapies biologiques ainsi que sur l’apport de l’expectoration induite pour préciser le phénotype d’un asthme et orienter le traitement.    Service associé Médecins associés
Allergies respiratoires (et asthme allergique)
Problématique de santé
Allergologie 
Qu’est-ce que les allergies ? Image FR Does your child have a blocked nose,  sneezing fits or itching eyes? If so, your child may be allergic to pollen or dust mites.   Does your child have difficulty breathing, a persistent cough or is perhaps regularly diagnosed with bronchitis or bronchiolitis?  If so, your child may have asthma.   Does your child systematically have a skin reaction, bloating, stomach pain or even more serious reactions after eating a particular food? If so, your child may have an allergy or food intolerance.   Don’t hesitate to make an appointment with our pneumo-allergology service if you think one of these scenarios matches your situation.     Prise en charge Lors de la consultation, le médecin établira premièrement une anamnèse (historique des antécédents médicaux) détaillée du problème de santé de votre enfant. Par la suite, des examens complémentaires peuvent être proposés comme des tests d’allergie (tests cutanés ou dosage d’anticorps dans le sang), des épreuves respiratoires (pour les enfants à partir de 6 ans) et des tests de provocation orale (plus spécifiquement pour l’allergie alimentaire ou médicamenteuse). Ces tests permettent de confirmer le diagnostic ou de suivre l’évolution de la maladie de votre enfant. Enfin, un traitement et des conseils vous seront prescrits. Parfois, des avis à d’autres spécialistes sont demandés (diététiciens, dermatologues, ophtalmologues, ORL, …) pour optimaliser la prise en charge de votre enfant.  Conseils Si vous suspectez une allergie alimentaire grave ou une crise d’asthme sévère, rendez-vous aux urgences ou chez votre médecin ou pédiatre traitants pour recevoir les premières lignes de traitements et premiers conseils. Les délais pour nos consultations sont malheureusement parfois longs ; les médecins de 1ere ligne sont là pour vous épauler le temps d’attendre votre 1er RDV en penumo-allergologie.  Recherche  A l’H.U.B, et plus particulièrement à l’Hôpital Erasme, nous avons développé une expertise concernant la prise en charge de l’allergie alimentaire. Votre enfant sera vue en consultation conjointe d’allergologie alimentaire par le pédiatre allergologue et la diététicienne spécialisée en allergologie. Nous proposons des diagnostics précis et sûrs de l’allergie alimentaire afin de ne pas imposer un régime d’éviction de l’aliment si ce n’est pas nécessaire. Pour ce faire, nous faisons passer un test de provocation orale à votre enfant, en lui proposant de manger l’aliment suspect d’allergie, à dose croissante, à l’hôpital, afin de mettre en évidence les réactions allergiques et de les traiter adéquatement. En effet, les tests cutanés et dosages d’anticorps sanguins ne permettent pas toujours d’établir le diagnostic de manière sûre. Ce test de provocation orale nous en donne la certitude. Après avoir établi le diagnostic de l’allergie alimentaire de votre enfant, nous pouvons vous proposer une réintroduction de l’allergène au domicile suivant un protocole bien établi et personnalisé à votre enfant afin de le désensibiliser de son allergie ; le but est donc de ne plus le rendre allergique à cet aliment. Nos spécialistes Services associés
Allergologie 
Problématique de santé
Amyotrophie multisystémique
Qu'est-ce que l'amyotrophie systémique? en cours de construction Un service reconnu comme centre d'expertise ERN-RND ERN-RND - Expertcentres
Amyotrophie multisystémique
Article
Anatomie d’une chute : les troubles de l’équilibre après un AVC
À l’occasion de l’atelier patients-soignants qui est organisé ce mardi 11 février par la Clinique Neurovasculaire sur les troubles de l’équilibre après un AVC, Sara Ben Chekroun, kinésithérapeute, revient sur les points d’attention à surveiller chez le patient, à l’hôpital et surtout à domicile pour éviter les chutes. Interview Quels sont les troubles d’équilibre que l’on peut rencontrer après un AVC et pourquoi ?Avant d’expliquer ce que sont les troubles de l’équilibre, il me paraît utile de rappeler ce qu’est un AVC. Un Accident Vasculaire Cérébral (AVC) est un caillot qui vient boucher une artère cérébrale (on parle alors d’AVC ischémique). Un AVC peut aussi être lié à la rupture d’une artère cérébrale (on parle alors d’AVC hémorragique). Dans les deux cas, une zone du cerveau est en souffrance car en manque d’oxygène. Plus le temps passe, plus cette zone meurt. Un tel évènement n’est pas sans séquelle pour le corps. Des troubles de l’équilibre peuvent survenir si la partie du cerveau qui est atteinte est directement responsable de l’équilibre, mais aussi si les autres zones du cerveau qui sont touchées provoquent des séquelles (comme par exemple : paralysie, perte de force, d’un côté du corps ou un seul membre, difficulté à sentir sa jambe ou le sol sous le pied, baisse de l’acuité visuelle) dont les conséquences résultent dans des troubles de l’équilibre. Image D’autres troubles qui surviennent après un AVC (troubles cognitifs, moteurs, de la concentration, de l’attention) ainsi que la fatigue, peuvent entraîner des troubles de l’équilibre et constituer de sérieux facteurs de risque de chute. La fatigue est probablement LE symptôme le plus sous-estimé car, elle persiste longtemps après un AVC, elle peut engendrer des états de faiblesse, la baisse de l’attention et de la concentration, notamment chez les patients âgés de plus de 65 ans. On sait qu’une personne qui a fait un AVC après 65 ans présente un risque de chute 3 fois plus élevé qu’une personne de 65 ans qui n’a pas fait d’AVC[1]. Il s’agit vraiment d’un problème majeur pour cette population à risque. De plus, on observe qu’il y a également un lien entre la dépression et le risque de chute : 30 à 50 % des patients qui ont fait un AVC et qui perdent leur autonomie du jour au lendemain, tombent en dépression et ont plus tendance à faire des chutes[2].Les troubles de l’équilibre et les risques de chute qui en découlent peuvent également être induits par des facteurs externes comme une mauvaise médication ou un environnement inadapté. Un patient qui a fait un ou plusieurs AVC peut prendre des médicaments tels que des antidouleurs, des anticoagulants, des antidépresseurs ou des diurétiques. Il faut aider le patient à gérer sa médication, car s’il en prend trop ou pas assez, il va souffrir d’effets secondaires importants comme l’incontinence, l’incapacité à gérer des changements de position, les chutes de tension au moment de se lever ou encore les « yoyos glycémiques », notamment chez les patients diabétiques, qui vont interférer avec les risques de chute (aller aux toilettes, par exemple, peut entraîner des chutes).L’environnement de vie d’un patient qui a fait un AVC doit être repensé pour éviter les chutes : la présence de tapis, d’escaliers sans rampe, d’obstacles dans la maison, une mauvaise lumière ou ne serait-ce que de mauvaises chaussures ou pantoufles peuvent accroître le risque de chute. Parfois, c’est ce qui limite le retour à domicile. Les familles ne comprennent pas toujours pleinement ce qu’est un AVC et ils n’ont pas conscience de la portée des troubles et des déficits occasionnés. Il faut savoir qu’un tiers des patients qui ont fait un AVC gardent un handicap au quotidien[3], même un an après. Le risque de chute est toujours très présent et une fois que le patient a chuté, il commence souvent à développer la peur de tomber. Cette peur se mue en une immobilisation progressive qui, peu à peu l’isole, le fragilise et détruit son autonomie. C’est un cercle vicieux car, moins le patient bouge, plus il prendre de risques de tomber à nouveau lorsqu’il doit bouger. On constate que chez les populations de patients qui ont déjà chuté une fois, 50% chutent une deuxième fois[4], multipliant ainsi les hospitalisations et renforçant à chaque fois l’angoisse du patient et de ses proches.Quels sont les types de chute les plus fréquents chez les patients qui ont fait un ou plusieurs AVC ? Les chutes les plus fréquentes ont lieu au domicile ou lors des transferts, quand le patient doit passer de la station couchée à debout, pour aller à la douche ou aux toilettes par exemple. La salle de bain et les toilettes sont deux environnements qui provoquent énormément de chutes. Heureusement, on recense peu de blessures graves, mais il y a quand même parfois des hospitalisations pour des fractures du col du fémur ou des hématomes cérébraux. Lorsque le patient revient à l’hôpital, l’équipe doit refaire toute une évaluation de l’équilibre, la comparer par rapport à celle de l’hospitalisation précédente et discuter avec le patient et ses proches pour en savoir plus sur le contexte et les causes de la chute. Tout ces éléments influencent le projet de soin du patient.Si le patient se dégrade trop et que la famille ne se sent plus capable de prendre soin de lui à domicile, il est envoyé en maison de repos. Ce sont des situations très compliquées pour les aidants proches qui ont du mal à comprendre pourquoi le patient continue à tomber malgré leurs soins et leur attention. Ils sont généralement très angoissés car, du jour au lendemain, leur quotidien tourne uniquement autour du patient, de ses risques de chute, de la peur de la chute et de revivre une hospitalisation.  Image D’un autre point de vue, les risques de chute sont également difficiles à gérer pour les soignants qui, comme les aidants, ont une responsabilité vis-à-vis du patient. Si un patient tombe durant son séjour à l’hôpital, il est primordial de savoir pourquoi et comment cela s’est produit, afin de mettre en place des mesures préventives et/ou correctives qui assurent sa sécurité tout en préservant au maximum son autonomie. Il n’est pas toujours évident de trouver le juste milieu.Chaque semaine, une évaluation des risques de chute est réalisée chez les patients plus âgés qui sont en revalidation. Ces tests nous permettent de voir leur évolution et d’identifier ce qui les met le plus à risque de chute. Les résultats de cette évaluation sont communiqués au staff, au médecin et à la famille. Une bonne communication entre toutes les personnes qui interviennent dans le parcours de soin du patient est essentielle, surtout quand les patients rentrent à domicile pour le week-end. Nous voyons avec le patient ce qui est difficile, facile puis nous mettons en place un plan de traitement pour essayer de travailler l’équilibre. Nous veillons à bien informer la famille de ce plan et à répondre à toutes leurs questions et inquiétudes. Après, le risque zéro n’existe pas… En fonction des séquelles de l’AVC, tout va changer. C’est pourquoi nous faisons des réunions avec la famille, le médecin, les paramédicaux et le patient pour faire le point sur la situation et évaluer dans quelle mesure le patient est conscient ou non de sa nouvelle réalité, celle en dehors de l’hôpital. À l’hôpital il y a toujours du monde, le patient est aidé, il bénéficie de tous les équipements nécessaires et adaptés. Le sol est plat ! De retour chez lui le week-end, il est confronté à la « vraie » vie, où tout devient plus vite compliqué (pour se lever, s’habiller, se laver, se déplacer) et où le patient réalise que ce n’est pas si évident que ça et que les risques sont élevés.Quelles sont les prises en charges médicales actuellement disponibles à l’Hôpital Erasme - HUB pour préserver l’équilibre chez les patients qui ont fait un/des AVC ?Notre équipe travaille en étroite synergie avec des neurologues, neuroradiologues diagnostiques et interventionnels, urgentistes, intensivistes, neurochirurgiens, cardiologues, ORL et spécialistes en rééducation (neuropsychologues, psychologues, kinésithérapeutes, ergothérapeutes, infirmier.e.s, diététicien.ne.s. Cette collaboration garantit une intervention rapide, la détermination précise et précoce des causes de l’AVC, l’ajustement sans délai des traitements pour minimiser les risques de récidive et favoriser une rééducation précoce pour réduire l’impact fonctionnel.Les assistantes sociales de l’H.U.B passent voir le patient et la famille pour voir s’il y a un besoin d’aide à domicile pour les  soulager au quotidien. Les psychologues sont là pour accompagner le patient et la famille qui doivent faire le deuil de la « vie d’avant ». Nous mettons également à disposition des aides techniques canne, béquilles, chaises roulantes, scooters adaptés) dont la plupart est remboursée. Qu’est-ce que le patient, et/ou éventuellement l’aidant proche, peut mettre en place à domicile pour prévenir au maximum les chutes ?Ce que nous conseillons aux patients est de faire vérifier la vision et l’audition du patient car elles impactent fortement l’équilibre. Nous veillons également à la bonne gestion de la médication en évitant les effets secondaires et en les changeant si nécessaire. Nous proposons également de faire attention à l’environnement du patient à la maison : enlever les tapis ou mettre des antidérapants, avoir une tribune, être toujours accompagné dans les escaliers, porter des chaussures appropriées, aménager un siège de douche, des barres d’appuis et, si nécessaire, un lit médicalisé. L’important étant que toutes les aides, techniques comme humaines, soient prêtes dès le retour du patient chez lui. Image Si le patient vit seul, il peut soit retourner chez lui, mais avec une aide à domicile maximale avec : une infirmière qui passe matin et soir, tous les jours ; des séjours en centre de jour ; des aides familiales et ménagères. Soit il va vivre en maison de repos s’il ne peut plus vivre seul entre deux visites à domicile.Liens ressources :Le Belgian Stroke Council (BSC) regroupe différents médecins (dont le Dr. Noémie Ligot, Directrice de la Clinique Neurovasculaire de l’H.U.B est la Présidente) pour fournir toutes les informations concernant l’AVC que ce soit pour les patients ou les soignants. Vous trouverez également des liens vers des associations, des associations de patients, des groupes d’entraide, des témoignages ainsi que divers livrets gratuits à télécharger[1] Cahit U.,Demet G., Nevzat U., Serhat O., Gazi O. «charactéristics of failing in patients with stroke”. Neurology Neurosurg Psychiatry 2000[2] ibid[3]Poindessous, J., Basta, M., Gomis, N., Gonzar, A., & Dupaquier, L. (2019). La rééducation précoce post-AVC. 33(206), 16-19.[4]Batchelor F., Mackintosh S., Said C., Hill K., “Falls after stroke”, International Journal of Stroke, 2012 Contact et information Sara Ben ChekrounKinésithérapeute au Service de Neurologie de l’H.U.BSara [dot] benchekroun [at] hubruxelles [dot] be (Sara[dot]benchekroun[at]hubruxelles[dot]be)   Image Prochains ateliers "Mieux vivre après un AVC" 18/03/2025 - Comment gérer les facteurs de risque cardiovasculaire grâce à l’alimentation ?15/04/2025 - Langage et parole après un AVC20/05/2025 - Mes facteurs de risque cardiovasculaire sont-ils suffisamment bien contrôlés (obésité, diabète, SAS,…) ? 17/06/2025 - Puis-je conduire après un AVC ? Evaluez votre aptitude à la conduite avec le CARA. Je m'inscris