Problématique de santé
Trauma Center
Le Trauma Center prend en charge les patients traumatisés sévères et mobilise tous les jours (24h/24 et 7j/7) une équipe multidisciplinaire médicale et paramédicale experte et entraînée pour que la prise en charge soit transversale et optimale, dès l’appel du 112 jusqu’à la stabilisation du patient (chaîne de survie) puis jusqu’à sa réhabilitation. Le traumatisme sévère concerne un grand nombre de personnes chaque année, qu’elles soient accidentées de la route, du travail ou domestique, voire même agressées, et devient un problème majeur de santé publique. En effet, le traumatisme sévère est reconnu pour être la 1e cause de mortalité chez les moins de 40 ans et pour être source de morbidités/handicaps graves si le patient survit. La prise en charge des patients traumatisés sévères ne s’improvise pas. Elle requiert une expertise, du matériel, des protocoles et un trajet de soins spécifique, afin d’optimiser le taux de survies des patients.  L’Hôpital Erasme dispose d’infrastructures et de ressources matérielles et médicales permettant de proposer un trajet de soins complet aux patients traumatisés sévères. Cette chaine de soins structurée fait intervenir une équipe multidisciplinaire médicale et paramédicale experte et entraînée pour que la prise en charge soit transversale et optimale, dès l’appel du 112 jusqu’à la stabilisation du patient (chaîne de survie) puis jusqu’à sa réhabilitation. Certification "Trauma Center" Depuis septembre 2022, l’Hôpital Erasme a obtenu l'accréditation en matière de prise en charge des patients traumatisés sévères de niveau 1.  
Trauma Center
Rich page
Travaux de fin d'étude (TFE) n'impliquant pas l'Hôpital Erasme
Projet de recherche dans le cadre d'un travail de fin d'étude (TFE) Le Comité d'Ethique Hospitalo-Facultaire Erasme-ULB propose une procédure simplifiée pour l'établissement du dossier de soumission d'un TFE. Guichet unique Les projets pour lesquels Erasme est promoteur, centre participant, de même que les TFE (y compris les DES et Master complémentaires) impliquant au moins un être humain, des données ou du matériel corporel humain (MCH) se rapportant à un être humain, qui a été, est, sera traité ou subira un examen à l’Hôpital Erasme, doivent d’abord être soumis au Guichet unique du Service de la Recherche Biomédicale.  A cet égard, vous trouverez plus d’information en cliquant sur le lien suivant : Soumission d'un projet de recherche. Soumission au Comité d'Ethique Le format du dossier de soumission proposé dans ces pages doit être utilisé pour toute soumission au Comité d'Ethique Erasme-ULB, que l'étude soit menée sur le campus Erasme ou dans toute autre institution ne disposant pas d'un comité d'éthique avec agrément complet (voir liste des comités d'éthique hospitaliers) .  Attention : Le format du dossier de soumission Erasme-ULB (soumission électronique, formulaires de demande d'avis et modèles de document d'information et consentement) peut être utilisé pour certains Comités d'Ethique des hôpitaux de stage ULB (voir Comités d'Ethique surlignés dans la liste suivante).   Pour les autres Comités d'Ethique, renseignez-vous auprès de ces derniers pour connaitre leurs procédures. Qui est concerné ? Tous les étudiants qui doivent présenter un travail de recherche en rapport avec la personne humaine dans le cadre de la fin de leurs études supérieures (master, master complémentaire, DES).  Cette procédure n'est donc pas applicable aux doctorants (PhD, thèses de doctorat) et aux membres du corps enseignant ou maîtres de stage qui organisent un projet d'expérimentation clinique. Les professionnels (médecins, kinésithérapeutes, psychologues, infirmiers, ...) sont supposés soumettre un dossier standard en fonction des spécificités de leur projet. Dans quel cas doit-on soumettre un travail de fin d'étude au Comité d'éthique ? Quand le projet de recherche est directement ou indirectement en rapport avec la personne humaine et qu'il a pour objectif le développement des connaissances propres à l'exercice des professions de soins de santé. Ne doivent donc pas être soumis au Comité d'Ethique : 1: les projets de recherche animale recherche animale ou de recherche in vitro n'utilisant pas du matériel corporel humain, 2: les projets de recherche sur cadavre,  3: les revues de littérature, 4: les enquêtes auprès de professionnels de la santé sur leur pratique, si ces enquêtes ne font pas appel aux données des dossiers médicaux ni référence à des patients individuels, Quand doit-on soumettre son travail de fin d'étude au Comité d'Ethique ? La soumission doit être faite avant le début de la recherche. Celle-ci ne peut commencer qu'après approbation par le Comité d'Ethique. A qui doit-on soumettre son travail de fin d'étude ? Cela dépend d'abord du type d'étude que vous souhaitez réaliser : il y a lieu de distinguer les études qui n'entrent pas dans le cadre de la loi de mai 2004 et celles qui sont soumises au cadre défini par cette loi de 2004 relative à l'expérimentation sur la personne humaine (les études prospectives prévoyant un contact direct investigateur - participants). Toutes les études n'entrant pas dans le cadre de la loi de mai 2004 (enquêtes anonymes, études rétrospectives, études sur matériel corporel humain résiduel, rapports de cas cliniques ("case report"), etc.) doivent être soumises au comité d'éthique directement concerné (exemple : le comité d'éthique de l'hôpital qui vous permet l'accès aux dossiers médicaux de ses patients pour une étude rétrospective), que ce comité dispose ou non d'un agrément complet. Pour les études entrant dans le cadre de la loi de mai 2004 et selon le(s) site(s) (hôpitaux de stage, maison de repos, autres) dans le(s)quel(s) vous réaliserez  l'essentiel de votre TFE, vous devrez suivre une des options suivantes : Toute étude réalisée en dehors d'un hôpital doit être soumise au Comité d'Ethique Erasme-ULB. Toute étude prospective (observationnelle ou interventionnelle) monocentrique et réalisée dans un hôpital de stage dont le Comité d'Ethique n'a pas l'agrément complet (voir Agrément Partiel (AP) dans la colonne "agrément CE" de la liste suivante), doit être soumise au Comité d'Ethique Erasme-ULB et au Comité d'Ethique local simultanément. Toute étude prospective (observationnelle ou interventionnelle) monocentrique réalisée dans un hôpital de stage dont le Comité d'Ethique a un agrément complet (voir Agrément Complet Universitaire (ACU) ou Agrément Complet non Universitaire (ACNU) dans la colonne "agrément CE" de la liste suivante) doit être soumise directement à ce Comité d'Ethique. Toute étude prospective (observationnelle ou interventionnelle) multicentrique réalisée à l'Hôpital Erasme et sur un ou plusieurs autres sites doit être soumise simultanément au Comité d'Ethique Erasme-ULB et aux différents Comités d'Ethique locaux concernés. La procédure peut être relativement rapide si le travail de fin d'étude se réalise sur un seul site (étude monocentrique). Par contre, pour toute étude réalisée sur plusieurs sites hospitaliers (étude multicentrique), la procédure est plus complexe et plus longue.  En effet chaque Comité d'Ethique intervient dans l'évaluation du projet et il y aura donc interaction entre ces différents comités.  En quoi consiste la procédure de soumission simplifiée pour les TFEs ? Votre soumission sera uniquement électronique par envoi d'un email et des pièces jointes constituant le dossier à évaluer. Avant d'envoyer votre dossier de soumission au Comité d'Ethique Erasme-ULB, votre projet doit avoir été validé par votre référent direct (maître de stage, cadre scientifique, cadre de l'hôpital) et accepté par les personnes (médecin au cadre d'un service hospitalier / directeur d'un site extra-hospitalier) en charge des patients / volontaires que vous souhaitez recruter.  Le dossier de soumission finalisé devra être envoyé simultanément  par voie électronique (e-mail) au(x) comité(s) d'éthique et à toutes personnes concernées par votre projet.  Votre dossier comprendra : l'e-mail de couverture demandant au Comité d'Ethique d'évaluer votre projet.  Votre e-mail comprendra le titre de votre projet, la liste des différentes pièces de votre dossier qui seront joints à votre dossier (au format Word / nous ne sommes pas équipés pour lire le format.odt) et sera envoyé  au secrétariat du Comité d'Ethique Erasme-ULB  (comite [dot] ethique [dot] erasme [at] hubruxelles [dot] be (comite[dot]ethique[dot]erasme[at]hubruxelles[dot]be)) en mettant en CC (copie conforme) : tout autre Comité d'Ethique intervenant dans le processus d'évaluation quand il y a lieu, votre promoteur de projet de recherche, et  les personnes responsables du/des service(s) / site(s) (médecin / directeur) où votre recrutement sera organisé quand il y a lieu. l'ensemble des pièces jointes constituant effectivement votre dossier. En quoi consiste le dossier de soumission ? La composition de votre dossier de soumission dépendra du type d'étude projetée.  Le document de base est le formulaire de demande d'avis au comité d'éthique - formulaire DACE -  qui comprend à la fois des données administratives et votre protocole d'étude.  Trois alternatives sont proposées (suivre les liens): Etude prospective observationnelle ou interventionnelle Etude rétrospective sur dossiers médicaux/paramédicaux  et/ou sur matériel corporel humain résiduel (MCHR) Etude par enquête anonyme ou étude qualitative par entretiens semi-directifs / groupes focaux Quand obtient-on l'avis du Comité d'Ethique ? Le secrétariat du Comité d'éthique vous fournira endéans les 3 jours de l'envoi de votre dossier de soumission un accusé de réception.  Si vous vous rendez compte que votre soumission était incomplète lors de votre premier envoi, il est toujours possible d'envoyer à nouveau votre dossier de soumission complet.  Attention : Dans ce cas, ne pas envoyer de compléments à votre dossier mais bien un dossier complet en précisant que vous annulez la soumission précédente.  Si vous ne recevez pas d'accusé de réception, contactez  le secrétariat du Comité d'Ethique pour résoudre le problème. Dans la mesure du possible et selon les disponibilités du Comité d'Ethique, vous recevrez endéans les 4 à 6 semaines qui suivent la réception d'un dossier valide, soit un avis définitif (confirmation d'approbation), soit un avis provisoire (demande d'informations complémentaires ou demande de modification de documents soumis).  Dans cette seconde alternative, vous devez  être capable de répondre dans les 2 semaines qui suivent notre email de demande d'informations complémentaires. Attention : La période de soumission comprenant les mois de novembre à février compris est la plus déforable en termes de délais de réponse du Comité d'Ethique vu la concentration des soumissions dans cette période et la moindre disponibilité des membres du Comité d'Ethique en fin d'année.  Qui contacter pour des informations complémentaires ? Si après lecture des informations fournies via nos pages web, vous avez le moindre doute, la moindre question, n'hésitez pas à contacter les personnes suivantes, membres du Comité d'Ethique : Médecine Générale (DMG) Dr François FELGUERESO-BUENO Médecine Hospitalière Pr Serge GOLDMAN Pr Myriam REMMELINK Ecole de Santé Publique (ESP) Pr Christelle SENTERRE Pr Marc MAYER Faculté des Sciences de la Motricité (FSM) Pr Stéphane BAUDRY Mme Chloé Sauvage Psychologie Pr Philippe PEIGNEUX Infirmiers / Infirmières Mme Cathy GERARD Mme Laure DIDENS Fichier attaché File liste_des_ce_des_hopitaux_de_stage_du_reseau_ulb_20160525_0.pdf File tfe_modele_dic_pour_rappport_de_cas.doc
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Travaux de rénovation de façade à l’Hôpital Erasme
Une des façades de l'hôpital en chantier À partir du 17 avril, des échafaudages seront posés sur une des façades de l’Hôpital Erasme (bâtiment Est, façade Sud). Une rénovation de la façade est en effet nécessaire pour préserver le bâtiment et améliorer encore la sécurité. Les travaux devraient durer environ six mois. Le Département d’Ingénierie hospitalière met tout en œuvre pour réduire autant que possible les nuisances liées aux travaux. Nous vous prions de nous excuser pour les désagréments éventuels. Votre équipe soignante sera à votre disposition si vous avez besoin d’informations. Nous vous remercions pour votre compréhension.
Article
Travaux en vue pour votre sécurité
Les bétons de la façade de l’Hôpital Erasme doivent être réparés pour votre sécurité et celle de nos équipes. Un échafaudage a été posé devant les fenêtres d’une de nos façades ; le chantier durera du 10 mai au 13 juin.  Les bétons de la façade de l’Hôpital Erasme doivent être réparés pour votre sécurité et celle de nos équipes. Un échafaudage a été posé devant les fenêtres d’une de nos façades et le chantier durera du 10 mai au 13 juin.  Les nuisances sonores seront importantes à partir du 27 mai et jusqu'au 4 juin, pendant une phase de piquetage des bétons endommagés. Pour les visiteurs de l’hôpital et pour les consultations, il ne devrait y avoir aucun impact. Des nuisances doivent cependant être prévues dans certaines chambres d’hospitalisation de certains services. Nous mettons tout en œuvre pour limiter le bruit du chantier, et un film est posé sur les vitres des chambres concernées pour que chaque patient garde son intimité. Votre équipe soignante sera disponible pour répondre à toutes vos questions. 
Services
Travel Clinic
Notre rôle La Clinique des Maladies infectieuses et tropicales se réfère à l'infectiologie, qui consiste en l'étude de la physiopathologie, de la prévention, du diagnostic, du traitement des maladies infectieuses, tant extra-hospitalières qu'intra-hospitalières (nosocomiales). Le Service des Maladies infectieuses et tropicales de l’Hôpital Erasme est un centre agréé par le Ministère de la Santé et porte dès lors la dénomination "Travel Clinic". Image Nos spécialités  L'activité clinique de l'équipe des maladies infectieuses est plus particulièrement orientée vers les problèmes infectieux complexes ainsi que les infections du patient immunodéprimé (patients transplantés ou sous traitement immunosuppresseur), les infections nosocomiales (et plus particulièrement les germes multirésistants aux antibiotiques) et les maladies tropicales. Une clinique du voyageur (Travel Clinic) assure les conseils et vaccinations avant un départ à l'étranger.La mission de la Clinique des Maladies infectieuses est d'apporter une expertise particulière dans le diagnostic, la prise en charge et le traitement des infections tant pour les patients ambulatoires que dans les différents services en collaboration avec les médecins responsables des secteurs d'hospitalisation concernés. La clinique travaille, de ce fait, en relation étroite avec le laboratoire de Microbiologie. Les activités comprennent : Consultation d'infectiologie générale : pathologies infectieuses complexes (borréliose de Lyme, tuberculose, fièvres prolongées, infections de différentes prothèses, etc.) Consultation de Travel Clinic (consultation de médecine du voyageur) et de médecine tropicale : conseils, vaccinations et prise en charge des problèmes tant avant qu’au retour de voyage Consultation d’orthopédie infectieuse (effectuée en collaboration avec un chirurgien orthopédiste) : prise en charge d’infections osseuses complexesHospitalisation spécialisée accueillant des patients présentant des maladies infectieuses diverses directement pris en charge par les infectiologues. Gestion de la politique d'utilisation de l'antibiothérapie prophylactique et thérapeutique de l'ensemble de l'hôpital, en collaboration avec un groupe pluridisciplinaire comprenant microbiologistes, pharmaciens et infectiologues. Edition d'un guide de prise en charge des problèmes infectieux (« Maladies Infectieuses: attitudes pratiques, diagnostiques et thérapeutiques »).  Travel Clinic La Travel Clinic propose des consultations assurées par des médecins internistes et pédiatres infectiologues ayant une compétence particulière en médecine tropicale et en médecine du voyage. L’objectif de ces consultations est d’informer le voyageur sur les risques inhérents aux voyages qu’il a programmés et de lui prodiguer les conseils, vaccinations et prophylaxies les plus appropriées. Selon votre destination, un traitement peut s'imposer (vaccinations, prophylaxies), celui-ci dépend :du pays visitéde la durée et des conditions de séjourde votre âgede votre état général et de vos antécédents médicaux : allergie, prise de médicaments, grossesse, thrombose, varices...Lors de la consultation (conseillée au moins 1 mois avant le départ, dans la mesure du possible), le médecin :évalue les risques infectieuxvous conseille sur les précautions à prendre propose les vaccinations adaptéesvérifie les vaccinations de base comme le tétanos, la diphtérie et la coqueluche, et ce en parfaite collaboration avec le médecin traitant.les injections des vaccins se font sur place, au moment de la consultationDifférents types de prévention :Vaccination contre la fièvre jaune, méningo-encéphalites, hépatites, tétanos, rage, fièvre thyphoïde, etc.Prophylaxie anti-malarique et traitement de « poche »Prévention de la diarrhée des voyageurs et traitement de « poche »Prévention des problèmes médicaux divers (mal de l'altitude, mal de voyage, etc.) et explication des comportements à risque (dengue, bilharziose, strongyloïdose, etc.) La majorité des problèmes médicaux rencontrés à l’occasion d’un voyage peut être prévenue par des vaccinations et/ou des conseils adaptés. Cette brochure reprend les informations essentielles pour votre voyage.  Découvrez la brochure
Travel Clinic - Erasme
Problématique de santé
Trisomie 21
Qu’est-ce que la Trisomie 21 ? La trisomie 21, également appelée Syndrome de Down, est l’affection génétique la plus fréquente. On en connaît bien les caractéristiques physiques, qui sont la signature visible du syndrome, mais celles-ci ne constituent qu’une partie des symptômes qui peuvent survenir chez ces patients. En effet, outre certaines malformations présentes dès la naissance, notamment cardiaques, les enfants porteurs de trisomie 21 peuvent présenter divers problèmes médicaux, touchant le développement psychomoteur, la vision, l’audition, la croissance, le fonctionnement des hormones, l’immunité, la dentition, la peau... En lien avec un vieillissement précoce, d’autres problèmes médicaux peuvent survenir chez les adultes, touchant le cœur, le cerveau, la vision, l’audition,… Prise en charge Un diagnostic précoce des problématiques fréquentes dans la trisomie 21 est essentiel pour limiter leur impact sur la santé et la qualité de vie de l’enfant porteur de trisomie 21, et permettre une meilleure évolution sur le plan du développement psychomoteur, des compétences sociales, des apprentissages, du bien-être et du comportement de l’enfant. Dans cette optique, l’Hôpital des Enfants offre depuis de nombreuses années aux enfants porteurs de trisomie 21 une consultation de suivi multidisciplinaire systématique et régulier impliquant des médecins de différentes spécialités, dès avant la naissance, tout au long de leur croissance et jusqu’à l’âge adulte. Pour le confort des enfants et de leur famille, les consultations sont groupées sur une journée et ont lieu une fois par an, parfois plus, tenant en compte les particularités de chaque enfant. Selon les besoins de chacun, notre équipe collabore étroitement avec les autres médecins spécialistes et les équipes paramédicales de l’Hôpital des Enfants, ainsi qu’avec les médecins généralistes et pédiatres traitants, les thérapeutes (kinésithérapeutes, logopèdes, ergothérapeutes, psychologues,…), les services d’accompagnement, les services de répit, les associations et les centre PMS. Au moment du passage à l’âge adulte, une consultation de transition à l’Hôpital Erasme peut être organisée. Trajet de soins spécifiques Notre équipe travaille en étroite collaboration avec les centres nationaux et internationaux en charge de patients porteurs de trisomie 21. Nous avons ainsi contribué à l’élaboration d’un carnet de suivi médical des enfants et organisons régulièrement un symposium consacré à différents aspects de la pathologie, en collaboration avec les équipes nationales et les associations de parents. Nos spécialistes Patients enfants (Hôpital Des Enfants)La consultation multidisciplinaire est organisée par le service de neuropédiatrie (Médecin coordinateur : Dr Anne Monier ; Secrétaire coordinatrice : Mme Daniela Wayllace)Médecin coordinateur et neuropédiatre : Dr Anne MonierPédiatre : Dr Pascale PerlotORL : Dr Benoit DevroedeOphtalmologue : Dr Lavinia PostolacheOrthopédiste : Dr Jean-Paul KaleetaCardiologue : Dr Hugues DessyNéonatologue : Dr Daniela AvinoGénéticienne : Dr Catheline VilainSecrétaire coordinatrice : Mme Daniela Wayllace (02 477 39 67)Patients adultes (Hôpital Erasme)La consultation est organisée par le service de neurologie (Cons [dot] Neuro [dot] erasme [at] hubruxelles [dot] be (Cons[dot]Neuro[dot]erasme[at]hubruxelles[dot]be)).
Trisomie 21
Article
Troubles du comportement alimentaire chez les jeunes : L'Hôpital Erasme devient centre de référence régional et suprarégional
Face à l’augmentation préoccupante des Troubles du comportement alimentaire (TCA) chez les adolescents et jeunes adultes, l’Hôpital ERASME (H.U.B) prend une position stratégique : depuis avril 2025, il est désigné centre de référence régional et suprarégional pour les cas complexes de TCA, dans le cadre d’un nouveau trajet de soins coordonné, multidisciplinaire et pris en charge par l’INAMI. Ce dispositif s’adresse aux jeunes de 0 à 23 ans, avec un objectif clair : ne plus laisser les familles seules face à ces troubles souvent invisibles, mal compris, mais toujours graves. Notre rôle est autant clinique que soutenant et structurant : accompagner les jeunes, les familles, mais aussi aider les professionnels dans les trajets de soins complexes  Dr Judith Dereau pédopsychiatre référente TCA à l’H.U.B Une pathologie en pleine expansionLes chiffres parlent d’eux-mêmes. Selon les données publiées par Sciensano en 2024, 13 % de la population belge présente une suspicion de TCA. Chez les adolescents, cette proportion atteint 18 % chez les filles, contre 7 % chez les garçons. À Bruxelles, la prévalence est encore plus marquée : 18 %, contre 12 % en Flandre.Anorexie, boulimie, hyperphagie… Derrière ces termes se cache une réalité bien plus vaste que le simple rapport à la nourriture. Les TCA traduisent une détresse profonde, un trouble du rapport au corps, au stress, à l’estime de soi et aux autres. Dans un premier temps, c’est bien souvent à l’adolescence — période de bouleversements identitaires — que ces troubles s’installent silencieusement.Un soin en ambulatoire pour les TCA plus adaptéLongtemps, les jeunes en souffrance se sont retrouvés face à une absence de solution, entre des consultations isolées ou une hospitalisation complète. Il y a un an, la mise en place du trajet de soins ambulatoire, financé et encadré par les autorités fédérales pour garantir un accompagnement progressif, adapté et de proximité, a été une première étape.Depuis ce printemps, il y a un renforcement de l’accompagnement, avec la mise en place de soins ambulatoires régionaux, un accueil thérapeutique à temps partiel, et la désignation de 9 centres de référence en Belgique, dont l’H.U.B, via son Service de Psychiatrie du bébé, de l’enfant, de l’adolescent et du jeune adulte — à cheval sur l’Hôpital Universitaire des Enfants Reine Fabiola (HUDERF) et l’Hôpital Erasme. L’H.U.B proposera son expertise aux patients et aux professionnels.En tant que centre de référence, l’équipe travaillera avec toutes les régions et pourra s’occuper des cas les plus sévères. Au niveau bruxellois, l’H.U.B est heureux d’annoncer un partenariat avec l’UZ Brussel pour proposer un accueil à temps partiel spécialisé et multilingue qui sera mis en place très prochainement. Un maillage territorialCe nouveau trajet de soins repose sur un réseau solide et articulé :au premier niveau, les médecins généralistes, avec les psychologues et les diététiciens conventionnés, soutenus par les EMAS (Équipes Multidisciplinaires Ambulatoires de Soutien), trajet de soins pris en charge financièrement,au second, les équipes de traitement à temps partiel des réseaux SMEA (Santé Mentale Enfants et Adolescents), avec des offres thérapeutiques dans chaque région,au dernier niveau, les centres spécialisés comme l’H.U.B.Mais pour que cette réforme porte ses fruits, un défi subsiste : faire évoluer les mentalités. Les TCA ne sont pas des troubles simples, mais des pathologies complexes et parfois mortelles. Dans les situations les plus sévères, en plus des complications somatiques, le suicide est aussi un risque. Il est urgent de détecter tôt et d’agir vite. Lien INAMI : Prise en charge des troubles du comportement alimentaire pour les jeunes jusqu’à 23 ans inclus | INAMI Lien H.U.B : https://www.erasme.be/fr/centre-pluridisciplinaire-ambulatoire-specialise-tca
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Troubles du comportement alimentaire chez les jeunes : l’Hôpital Erasme devient centre de référence régional et suprarégional
Face à l’augmentation préoccupante des Troubles du comportement alimentaire (TCA) chez les adolescents et jeunes adultes, l’Hôpital Erasme (H.U.B) prend une position stratégique : depuis avril 2025, il est désigné centre de référence régional et suprarégional pour les cas complexes de TCA, dans le cadre d’un nouveau trajet de soins coordonné, multidisciplinaire et pris en charge par l’INAMI. Ce dispositif s’adresse aux jeunes de 0 à 23 ans, avec un objectif clair : ne plus laisser les familles seules face à ces troubles souvent invisibles, mal compris, mais toujours graves Notre rôle est autant clinique que soutenant et structurant : accompagner les jeunes, les familles, mais aussi aider les professionnels dans les trajets de soins complexes  Dr Judith Dereau pédopsychiatre référente TCA à l’H.U.B Une pathologie en pleine expansionLes chiffres parlent d’eux-mêmes. Selon les données publiées par Sciensano en 2024, 13 % de la population belge présente une suspicion de TCA. Chez les adolescents, cette proportion atteint 18 % chez les filles, contre 7 % chez les garçons. À Bruxelles, la prévalence est encore plus marquée : 18 %, contre 12 % en Flandre.Anorexie, boulimie, hyperphagie… Derrière ces termes se cache une réalité bien plus vaste que le simple rapport à la nourriture. Les TCA traduisent une détresse profonde, un trouble du rapport au corps, au stress, à l’estime de soi et aux autres. Dans un premier temps, c’est bien souvent à l’adolescence — période de bouleversements identitaires — que ces troubles s’installent silencieusement.Un soin en ambulatoire pour les TCA plus adaptéLongtemps, les jeunes en souffrance se sont retrouvés face à une absence de solution, entre des consultations isolées ou une hospitalisation complète. Il y a un an, la mise en place du trajet de soins ambulatoire, financé et encadré par les autorités fédérales pour garantir un accompagnement progressif, adapté et de proximité, a été une première étape.Depuis ce printemps, il y a un renforcement de l’accompagnement, avec la mise en place de soins ambulatoires régionaux, un accueil thérapeutique à temps partiel, et la désignation de 9 centres de référence en Belgique, dont l’H.U.B, via son Service de Psychiatrie du bébé, de l’enfant, de l’adolescent et du jeune adulte — à cheval sur l’Hôpital Universitaire des Enfants Reine Fabiola (HUDERF) et l’Hôpital Erasme. L’H.U.B proposera son expertise aux patients et aux professionnels.« Notre rôle est autant clinique que soutenant et structurant : accompagner les jeunes, les familles, mais aussi aider les professionnels dans les trajets de soins complexes », souligne la Dr Judith Dereau, pédopsychiatre référente TCA à l’H.U.B.En tant que centre de référence, l’équipe travaillera avec toutes les régions et pourra s’occuper des cas les plus sévères. Au niveau bruxellois, l’H.U.B est heureux d’annoncer un partenariat avec l’UZ Brussel pour proposer un accueil à temps partiel spécialisé et multilingue qui sera mis en place très prochainement. Un maillage territorialCe nouveau trajet de soins repose sur un réseau solide et articulé :au premier niveau, les médecins généralistes, avec les psychologues et les diététiciens conventionnés, soutenus par les EMAS (Équipes Multidisciplinaires Ambulatoires de Soutien), trajet de soins pris en charge financièrement,au second, les équipes de traitement à temps partiel des réseaux SMEA (Santé Mentale Enfants et Adolescents), avec des offres thérapeutiques dans chaque région,au dernier niveau, les centres spécialisés comme l’H.U.B.Mais pour que cette réforme porte ses fruits, un défi subsiste : faire évoluer les mentalités. Les TCA ne sont pas des troubles simples, mais des pathologies complexes et parfois mortelles. Dans les situations les plus sévères, en plus des complications somatiques, le suicide est aussi un risque. Il est urgent de détecter tôt et d’agir vite.Lien INAMI : Prise en charge des troubles du comportement alimentaire pour les jeunes jusqu’à 23 ans inclus | INAMI Lien H.U.B : https://www.erasme.be/fr/centre-pluridisciplinaire-ambulatoire-specialise-tcaCommuniqué de presse
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Troubles du comportement alimentaire (TCA): centre de référence suprarégional à l’Hôpital Universitaire de Bruxelles (H.U.B)
Trajet de soins en Belgique Prise en charge des troubles du comportement alimentaire (TCA) à l’Hôpital Universitaire de Bruxelles (H.U.B) Un centre de référence suprarégional pour les jeunes de 0 à 23 ansLes troubles du comportement alimentaire (anorexie, boulimie, hyperphagie...) sont des pathologies complexes qui nécessitent une prise en charge spécialisée. L’Hôpital Universitaire de Bruxelles (H.U.B) est reconnu comme centre de référence régional et suprarégional pour l’accompagnement des jeunes concernés, de la petite enfance à l’entrée dans l’âge adulte. Notre approche repose sur un trajet de soins structuré, coordonné, multidisciplinaire et remboursé. Image 1-Deux sites de consultation et d’hospitalisation La prise en charge s’organise sur deux hôpitaux, selon l’âge du jeune :HUDERF (Hôpital des Enfants Reine Fabiola) : pour les enfants de 0 à 15 ansErasme : pour les adolescents et jeunes adultes de 12 à 23 ansLes consultations s’adressent aux jeunes bruxellois, sur demande d’un médecin (pédiatre, généraliste, etc.), soit pour un premier avis, soit dans le cadre d’un trajet de soins déjà activé ou d’une situation complexe. Image 2-Un accueil ambulatoire spécialisé à temps partiel (0-23 ans) Une prise en charge thérapeutique à temps partiel est proposée selon l’âge :HUDERF : pour les jeunes de 0 à 11 ans, au sein des consultations de pédopsychiatrie ou en lien avec les unités de jourErasme : pour les jeunes de 12 à 23 ans, au sein de l’Erasme Medical Center (EMC) Des thérapies multifamiliales et autres soins groupaux sont également proposés.Deux niveaux d’accès :Régional (Bruxelles) : sur orientation des professionnels locaux dans le cadre du trajet de soinsSuprarégional : pour les situations complexes venant d’autres provinces, via les professionnels spécialisés 3-Une expertise dédiée aux situations complexes Les professionnels de santé (médecins généralistes, pédiatres, psychiatres, psychologues...) peuvent solliciter l’expertise du HUB pour :des consultations de seconde lignedes avis spécialisésdes concertations multidisciplinairesune prise en charge à temps partiel intensiveune hospitalisation si nécessaire Centre pluridisciplinaire ambulatoire spécialisé TCACentre de Référence Supra-Régional pour les Troubles du comportement alimentaire (TCA) chez les jeunes 
Problématique de santé
Troubles du comportement alimentaire
Troubles du Comportement Alimentaire (TCA) chez les Enfants et Adolescents Qu'est-ce que les TCA ?Un trouble du comportement alimentaire (TCA) est une pratique alimentaire « anormale » associée à une grande souffrance psychique, qui s’installe durablement et dont les conséquences pour la santé de l’individu peuvent être graves. Dans ce type de maladie mentale, les attitudes face à son corps, à son poids et à la nourriture sont perturbées. Le fonctionnement psychosocial et la qualité de vie y sont également très altérés.Les troubles du comportement alimentaire apparaissent généralement à l’adolescence et concernent majoritairement les filles. Toutefois, ils peuvent également survenir chez les garçons, se déclencher pendant l’enfance ou à l’âge adulte.Centre pluridisciplinaire ambulatoire spécialisé TCA  Conseils aux Parents L'identification précoce des signaux d'alarme est cruciale pour intervenir efficacement. Les parents doivent être attentifs aux changements suivants chez leurs enfants :Modifications des habitudes alimentairesObsession pour le poids et l'apparencePerte de poidsSignes de retrait social et/ou familialChangements dans l’humeur : tristesse, irritabilité, anxiété, perfectionnismeFaible estime de soi  Le temps est un facteur déterminant dans le traitement des TCA. Un diagnostic rapide permet d'éviter des problèmes de santé graves tels que :Arrêt de croissance pubertaire et développementalTroubles cardiaquesFragilité osseusePerte de cheveuxDommages dentairesIndicationsSi vous soupçonnez la présence d'un TCA chez votre enfant ou adolescent, une consultation médicale rapide est impérative. Les médecins généralistes , pédiatres ou autres intervenants de première ligne peuvent orienter vers des établissements spécialisés, tels que l'Hôpital des Enfants (Huderf) ou l’Hôpital Erasme.  Pour prendre rendez-vous:Hôpital des Enfants (Huderf) +32 2 477 31 80Formulaire de prise de rendez-vous Erasme : EMC Consultation infanto JuvénileSecrétariat : +32 2 555 32 96Formulaire de prise de rendez-vous   
Troubles du comportement alimentaire